Guinée : Des mesures préventives contre d’éventuels cas de coronavirus

Le Directeur Général de l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire (ANSS) Dr. Sakoba Keita a animé une conférence de presse mardi, 04 février 2020 sur les mesures préventives contre d’éventuels cas de coronavirus, a suivi l’AGP.

Dr. Sakoba Kéita a abordé le cas du mécanicien d’origine bangladaise dont les résultats des examens en laboratoire, se sont révélés négatifs.

Le Directeur Général de l’ANSS a fait état des mesures prises dont :
Le renforcement des points d’entrée en Guinée, l’identification de tous les points d’entrée susceptibles d’être renforcés par rapport à cette maladie (l’Aéroport et le Port). Et les cinq catégories de personnes ciblées notamment les étudiants, les opérateurs économiques, les touristes, les experts et missionnaires qui passent régulièrement par les Ports et Aéroports.

« On n’a mis du personnel et de l’équipement notamment les caméras thermiques, les Thermo flashes pour pouvoir contrôler la température des gens. Parce que dans 98% des cas de ce coronavirus, il est ressorti les signes de fièvre. Donc ça commence par les fièvres pour pouvoir prendre la température des sujets qui rentrent dans le pays en vue de faire une détection rapide. » a-t-il précisé.

Et selon Dr. Kéita « la Guinée a dans sa vision de disposer de trois laboratoires et des centres épidémiologiques avec du personnel et tous les intrants nécessaires comme à Nongo, à Boké et à Kindia. L’INSP et l’Institut Pasteur de Guinée vont aussi recevoir les mêmes intrants d’ici la fin de la semaine en vue d’augmenter les capacités de diagnostics ».

Guinée-Coronavirus : Aucun cas positif déclaré à Conakry

Le cas suspect de coronavirus signalé lundi 3 février sur un mécanicien du Bangladesh, revenant d’un séjour au Sénégal, s’est révélé négatif.

Selon une source proche de l’Agence Nationale de la Sécurité Sanitaire (ANSS), les examens effectués à l’Institut National de Santé Publique et au Centre de recherche de Pastoria à Kindia, n’ont montrés aucune trace de coronavirus sur suspect.

Lundi, le Directeur National de l’Agence Nationale de la Sécurité Sanitaire avait indiqué qu’un citoyen d’origine bangladaise, revenant du Sénégal « a commencé à faire de la fièvre et de la toux. Et grâce à nos dispositifs mis à l’aéroport, la caméra thermique senti qu’il faisait de la fièvre et a donc alerté nos agents qui sont à l’aéroport ».

Et après l’isolement et le transfert du mécanicien bangladais au centre de traitement des maladies épidémiologiques de Nongo, le Directeur Général de l’ANSS Docteur Sakoba Keita a confirmé que « les résultats du suspect du coronavirus s’avèrent négatifs. Le patient suspecté souffrait de maladies pulmonaires chroniques et ne porte donc pas le coronavirus » a indiqué docteur Keita.

La grève du SLECG peu suivie à Boké

La grève déclenchée ce jeudi, 09 janvier 2020 sur toute l’étendue du territoire par le syndicat Libre des Enseignats et Chercheurs de Guinée (SLECG) semble être peu suivie dans la préfecture de Boké où les élèves ont massivement rejoint leurs établissements respectifs.

Interrogé sur la situation, l’inspecteur régional de l’Education (IRE) à Boké, Moriba Sidibé s’est exprimé au micro de notre correspondant basé sur place: « Avant le 9 janvier 2020, nous avons tenu des réunions pour aller vers les élèves, enseignants, les parents d’élèves bref, vers tous les partenaires.

Par ce qu’à cause de la grève de l’année dernière, les résultats ont été ce qu’ils ont été. Et cette année encore, le moment est très mal indiqué pour aller en grève. Nous ne devons pas accompagner une telle grève. Les syndicalistes devraient attendre les promesses tenues par le président de la République, père de la Nation guinéenne.»

Très tôt le matin, l’IRE (inspection régionale de l’Education) et la DPE (direction préfectorale de l’éducation) de Boké, a rassuré notre interlocuteur, «Ont déployés des cadres au niveau de toutes les écoles pour aider l’encadrement à résoudre les petits problèmes et prendre la liste des enseignants absents.» Selon lui, «Seuls les élèves de Kolaboui et Koréra n’ont pas étudié. Sinon, beaucoup d’écoles ont étudié sans aucun problème.»

Les forces armées guinéennes invitées à la rigueur et à la vigilance, par le ministre de la défense

Le ministère de la Défense nationale, devant le personnel militaire venu présenter les vœux de nouvel an, a fait état mercredi 8 janvier 2020 d’un vaste chantier en 2020 qui consiste à défendre l’intégrité du territoire, assurer la sécurité des personnes et de leurs biens tout en faisant participer l’Armée au progrès économique du pays.

Pour Docteur Mohamed Diané « nous n’avons pas droit à l’erreur, surtout en cette année électorale où notre pays est appelé à consolider les bases de sa démocratie à travers différentes consultations électorales programmées par le pouvoir central. Notre rôle est immense car nous sommes à la tête d’une institution garante de la stabilité du pays. C’est pourquoi, j’exhorte tout un chacun à plus de responsabilité dans l’accomplissement de vos différentes missions. »

Selon le Ministre de la Défense Nationale « Loyauté, rigueur et discipline doivent être au centre de toutes nos actions. Sans la loyauté, le respect de la hiérarchie et l’abnégation au travail, nous ne pouvons pas atteindre les objectifs à nous assignés par le président de la république, chef des Armées. »

Au-delà des résultats attendus et des principes de victoires exigés du personnel civil et militaire, du soldat au général, le ministre de la défense et des affaires présidentielles a également rappelé la clôture en 2020 du processus de recrutement au sein des forces armées guinéennes.

Tenant à plus de sérieux dans ces opérations de recrutement entachées parfois de magouilles, d’affinités et de favoritisme, Docteur Mohamed Diané s’est montré catégorique cette fois « Je ne tolérerais aucun laisser-aller, aucun favoritisme dans ce processus qui engage notre crédibilité aux yeux de la population au service de laquelle nous sommes ici. Prenez donc des dispositions pour que tout se passe correctement et dans la transparence absolue. » ordonne-t-il avant de poursuivre « j’instruis les services concernés à se mettre d’ores et déjà au travail, sans délais, pour une relecture de la Loi de programmation militaire afin de l’adapter au contexte et exigences du moment et poursuivre ainsi la réforme du secteur de sécurité. »

En attendant la fin de la relecture de la loi de programmation militaire a demandé aux différentes chaînes de commandement de « tout mettre en œuvre pour renforcer la sécurité non seulement à l’intérieur du pays, mais aussi et surtout de redoubler de vigilance le long de nos frontières en ne négligeant aucune menace susceptible de troubler la quiétude des Guinéens. » alerte-t-il

Bientôt un nouveau siège pour l’Assemblée Nationale

Un groupe d’experts chinois a été reçu vendredi, 8 novembre 2019 dans les locaux du ministère de l’Information et de la Communication. Ces experts chinois ont présenté la maquette du siège de la future Assemblée Nationale qui comprendra également un studio de radio et de télévision.

La délégation a été introduite par l’honorable Bambo Fadiga, président de la Commission Aménagement du Territoire et Transport à l’Assemblée Nationale.

Dans son allocution, l’honorable Bambo Fadiga a indiqué que « nous faisons ce projet pour le futur, un projet futuriste, nous voyons la Guinée dans 20 ans ou 30 ans »
« Cette équipe est composée d’ingénieurs séniors de toutes les spécialités qui doivent finaliser ce projet, déterminer le coût en fonction de nos besoins ; dans ce projet il aura toutes les commodités : des salles de banquets, salle de l’hémicycle, le logement du président de l’Assemblée, bref tous les aménagements y afférant ».

Pour sa part, le ministre de l’Information et de la Communication, Amara Somparé a dit qu’il est très heureux de savoir que ce projet a une composante audio-visuelle qui prévoit la création d’une télé et une radio parlementaire.

Manifestations à Mamou : 2 morts et 29 personnes interpellées (dont 6 filles)

Mamou, 15 octobre (AGP) -Après l’appel à manifester du Front National de Défense de la Constitution (FNDC) lundi, 14 octobre, le procureur près le Tribunal de Première Instance (TPI) de Mamou, Elhadj Sidiki Camara a dans un point presse indiqué qu’au compte de la première journée, deux (02) personnes ont été tué , 29 suspects dont 06 filles interpellées.

Ces personnes interpellées sont poursuivies pour des infractions ci-après:
.participation délictueuse à un attroupement (articles 627, 628, 629, 630, 631,632 du code pénal);
.Entraves à la libre circulation sur la voie publique (article 990 du code pénal);
.Destruction de biens publics et privés (article 523 du code pénal);
.Coups et blessures, violences volontaires et voies de fait (articles 239 et 240 du code pénal).

Poursuivant, Elhadj Sidiki Camara, a dit que les enquêtes sont en cours et que dans les prochains jours, dès que le parquet recevra le compte rendu complet de l’ensemble des enquêtes amorcées par les services de police et gendarmerie, un procès sera organisé à cet effet par le tribunal.

Parlant de la mort du margis-chef, Mamadou Yero Bah, âgé d’une trentaine d’années, marié et père de deux (02) enfants, en service à l’escadron mobile No 12 de Mamou, le procureur précise : Il a reçu un projectile au niveau de la tête. Il est tombé. Transporté à l’hôpital régional de Mamou, il y rendra l’âme juste vingt (20) minutes après son arrivée.
Il a été ordonné l’ouverture d’une enquête contre X pour assassinat. Les jours à venir nous édifieront.

Alpha Condé appelle l’opposition au dialogue (communiqué)

AGPGUINEE_Conakry, le 14 Octobre 2019

Son Excellence, Monsieur le Président de la République, Professeur Alpha Condé, entouré de ses plus proches collaborateurs, a présidé, ce dimanche 13 octobre 2019, une importante réunion consacrée à l’examen de la situation nationale. Il a rappelé encore son histoire et son parcours personnels connus de tous et marqués par un engagement total pour la démocratie ainsi que par le souci constant du bien-être de ses compatriotes qui, de tout temps, aspirent à la paix pour eux-mêmes et leur pays dont la sécurité et la stabilité demeurent l’affaire de tous.
Monsieur le Président de la République, a réitéré son appel au dialogue responsable et à la concertation permanente pour aplanir toutes les divergences et relever tous les défis qui se posent au pays. C’est pourquoi, il a instruit le premier ministre, Chef du Gouvernement, Dr Ibrahima Kassory Fofana, d’ouvrir de larges consultations sur tous les sujets de préoccupation nationale, sans limites, ni tabous. A ce propos, il a été rappelé, à l’attention de tous, en ce qui concerne le débat sur la constitution, la démarche qui a été privilégiée et l’orientation donnée par le Chef de l’Etat, dans son importante adresse à la nation du 4 septembre 2019, à savoir, avant toute décision de sa part et toute prise de position personnelle, donner la parole à chacun, écouter tous les Guinéens, sans exception.
Le Premier ministre, Chef du Gouvernement, à l’issue des consultations citoyennes, a remis son rapport, largement diffusé, à Monsieur le Président de la République, afin qu’il en tire toutes les conséquences pour le bien de la Guinée.

Comme il l’avait fait, pour annoncer les consultations inclusives, le moment venu et suite au rapport à lui adressé par monsieur le Premier ministre Son Excellence Monsieur le Président de la République, fera connaître les conséquences qu’il en tire, à la faveur d’une adresse solennelle à la nation.
En outre, Monsieur le Président de la République, a déploré la rupture du dialogue entre les acteurs avec comme conséquence un déficit de confiance entre lesdits acteurs. Aussi, a-t-il instruit la reprise des sessions du comité de suivi afin de plancher sur le processus de parachèvement des élections locales et communautaire. Le comité de suivi devra examiner aussi le calendrier électoral, en particulier, des élections législatives, pour créer les conditions d’élections inclusives, ouvertes à tous et avec la participation de tous.
Enfin, Monsieur le Président de la République, a insisté sur le libre exercice des Droits et des Libertés reconnus à tous les citoyens , comme le droit de manifester, non sans avoir souligné, avec force, l’obligation de responsabilité qui incombe à chacun et à tous. Ainsi a-t-il rappelé la pratique, en la matière : l’information et l’implication des autorités concernées pour qu’en accord avec les organisateurs, un itinéraire soit défini, des mesures de sécurité appropriées soient prises pour encadrer les manifestations, sécuriser les manifestants, afin d’éviter aussi tout débordement, tout acte de violence, toute atteinte aux droits et à la liberté d’autrui.
Monsieur le Président de la République, en appelle, une nouvelle fois, au sens de la responsabilité de chacun et de tous, à l’esprit civique et patriotique de tous les acteurs de la vie nationale pour préserver tous les acquis de nombreuses années de sacrifices, dans le respect des institutions et des lois de la République. Il invite toutes les composantes de la nation à se mobiliser et s’unir pour maintenir le climat de paix et de sécurité qui règne si heureusement en Guinée dans un monde en proie à l’instabilité et aux conflits de tous genres.

La Présidence de la République

Législatives 2019 : La CENI se dit prête pour le traitement du fichier électoral

AGP Guinée_ La Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) prépare activemment pour la tenue des élections législatives à la date annoncée, c’est-à-dire le 28 décembre 2019.

L’un des points stratégiques de ces préparatifs, c’est le site de traitement des données appelé « Site central de la CENI », où se font la remontée, le traitement et l’analyse de toutes les données liées au processus électoral notamment le fichier électoral. Ce site central est situé dans la commune de Kaloum à Conakry, précisément à la Cité des Nations, non loin de l’Etat-major Général de la Gendarmerie Nationale.

Le chef service de l’administration du site, M. Ousmane Keita, explique : « Le site central de la CENI est le centre de traitement de l’information électorale. C’est-à-dire les informations personnelles de tous les électeurs. Notamment les données alpha numériques et les données biométriques (les empreintes et le facial). Ici nous avons six salles : La salle des serveurs, la salle de déduplication ABIS, la salle d’impression des documents électoraux ; la salle de correction des données alpha numériques ; la salle des backups et la salle de tris et de conditionnement des documents électoraux ».

Il soutient que « les électeurs se font enrôler sur le terrain et les données sont remontées au site central. Nous faisons d’abord la consolidation qui permet de regrouper toutes les données des différentes localités en une seule donnée que nous appelons une base de données. Ensuite nous recrutons des opérateurs d’adjudication pour faire le jugement entre les citoyens qui sont dans les cas de doublons. Ainsi , les données qui sont plus récentes sont enregistrées et celles qui sont plus anciennes sont archivées. Avec le système ABIS, nous faisons le dé doublonnage que ça soit facial ou empreintes. Par la suite on retrouve une donnée unique qui est propre au citoyen avant de procéder à son affectation à un bureau de vote de sa localité. Et c’est sur cette base de données qu’on produit les cartes d’électeurs avec tous les renseignements nécessaires de l’électeur en toute sécurité».

M. Kéita ajoute par ailleurs que le logiciel de gestion des données acquises cette année par la CENI est un logiciel de dernière génération et il permet de prendre en compte non seulement les empruntes mais aussi le traitement facial ainsi que des données alpha numériques. Ça peut être les noms, les prénoms, les lieux de naissance, la filiation etc. Le même logiciel, ajoute-t-il, permet de faire les listes électorales provisoires, les listes définitives, les cartes d’électeurs, les listes d’émargement etc.

Le chef service de l’Administration du site central rassure qu’à date, la migration des données de l’ancienne base vers la nouvelle, est complètement terminée depuis le 16 Septembre 2019. Il précise que la remontée des données se fait pour être dans le délai fixé par la CENI. A ce jour, déclare M. Kéita, ‘’on peut dire sans nul que le site central de la CENI est fin prêt pour réaliser l’opération de traitement des données des électeurs guinéens.’’

Cellou Dalein Diallo : « Le chronogramme du président de la CENI n’est pas réaliste ni faisable »

(AGP Guinée)- Les consultations nationales relatives aux élections législatives et l’éventualité d’une nouvelle constitution animent les débats dans les QG des partis politiques.

Ces deux points ont été les plus dominants lors de l’assemblée générale ordinaire de l’Union des Forces Démocratiques de Guinée(UFDG), organisée, samedi, 21 septembre 2019, au siège national du parti à Commandanya, sous la présidence d’El Hadj Cellou Dalein Diallo.
Après la présentation de nouveaux adhérents aux cadres et militants du parti, l’honneur est revenu au président de l’UFDG, El Hadj Cellou Dalein Diallo de s’exprimer devant ses militants fortement mobilisés.

« L’actualité est dominée par les élections législatives, vous vous interrogez, il y a les concertations avec le premier ministre et il y a le troisième mandat, tout ça ne vise qu’un seul objectif : octroyer une présidence à vie à Alpha Condé », révèle le président de l’UFDG avant d’ajouter que le chronogramme du président de la CENI n’est pas réaliste ni faisable,
« Qu’est- ce que Me Salif Kébé veut? Pourquoi la Guinée est comme ça ? On sait pertinemment qu’il est impossible de faire des élections dans ce délai, et quand même on dit on peut parce qu’Alpha Condé a dit qu’il le faut, l’indépendance de la CENI n’est plus là. C’est le même Kébé qui nous a dit qu’il fallait 235 jours », s’interroge Cellou Dalein.

Pour lui, le chronogramme que Me Kébé vise, n’a qu’un seul objectif, c’est de bâcler les élections pour donner au président Alpha Condé la majorité qualifiée et lui dispenser de l’organisation du référendum pour faire adopter la nouvelle constitution à l’Assemblée. Si non, dit-il, les commissaires se sont retrouvés, ils ont évalué toutes les actions à mener et ils ont estimé que le plutôt pour les élections, c’est le 02 mars 2020.

Abordant le chapitre des consultations, Cellou Dalein a indiqué que certains acteurs socio-politiques sont partis aux consultations, c’est leur droit, mais s’il s’agit de parler de nouvelle constitution, dit-il, notre position est connue, on ne discute pas de changement de constitution, il n’y a aucun motif pour changer la constitution.
« Il est dit que nul ne peut exercer plus de deux mandats, je suis pour ça, si je suis président demain, je respecterai cette disposition de la loi, je demande à Alpha Condé de respecter son serment et la constitution à partir de laquelle il a été disons élu. Nous lui garantissons tous les avantages et privilèges d’un ancien président », promet le chef de file de l’opposition guinéenne.

La Guinée 11ème en Afrique et 65ème mondial dans le classement FIFA

(AGP)- La FIFA a publié jeudi, 19 septembre la dernière actualisation de son classement mondial.

Pas de grand bouleversement en zone Afrique, où le Sénégal reste la nation n°1 sans avoir joué le mois dernier (20eme), devançant sur le podium la Tunisie (29eme, stable) et le Nigeria (34eme, -1).
La Guinée dans ce classement est 11ème en Afrique et 65ème au monde.
L’Algérie, championne d’Afrique, grignote un peu de terrain (38eme, +2).
Le top 11 africain
1– Tunisie (23ème au monde)
2– Sénégal (25ème)
3- République Démocratique du Congo (40ème)
4 – Maroc (45ème)
5– Nigeria (48ème)
6- Cameroun (50ème)
7- Ghana (51ème)
8 – Burkina Faso (56ème)
9 – Mali (63ème)
10 – Egypte (64ème)
11 – Guinée (65ème)