Burkina : Luc Adolphe Tiao lance son parti politique

Le dernier Premier ministre du régime de Blaise Compaoré a lancé samedi dernier à Ouagadougou, son parti politique dénommé le Rassemblement Patriotique pour le Développement (RPD).Luc Adolphe Tiao, 67 ans, a signé son divorce avec le Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP) fondé en 2014 par l’ancien président burkinabé qui vit en exil en Côte d’Ivoire, depuis sa chute en 2014. Il a décidé de prendre son destin entre ses mains pour préparer les futures échéances électorales dans son pays.

« J’ai partagé la vision avec un certain nombre de camarades qui ont accepté qu’ensemble nous puissions créer un parti politique qui apportera sa contribution à l’édification du Burkina Faso » a-t-il déclaré devant ses sympathisants.

Journaliste de profession et ancien diplomate, Luc Adolphe Tiao avait été emprisonné le 16 septembre 2016 quelques jours après son retour volontaire d’un an et demi d’exil en Côte d’Ivoire.

La justice Burkinabé lui avait reproché la signature d’une réquisition spéciale, pour réprimer les manifestants de l’insurrection ayant conduit à la chute de Blaise Compaoré en 2014.

En créant son propre parti, l’ancien Premier ministre fait de la « sécurité et la réconciliation » ces deux priorités dans un pays en proie au jihadisme. « Nous ne pouvons pas continuer à vivre en ennemis. Nous ne pouvons pas laisser triompher la haine, nous ne pouvons pas continuer à tolérer la cassure sociale que nous observons chaque jour. Si nous aimons notre pays, nous devons travailler ensemble comme l’indique du reste notre logo, Rassemblement patriotique pour le développement », a-t-il indiqué.

 « S’unir pour bâtir » est le nouveau slogan du parti de Luc Adolphe Tiao dont le combat est de sortir le Burkina Faso de cette spirale de violence. « Notre pays a besoin de sécurité et de paix. Sans sécurité et paix, nous ne pouvons pas rêver. Sans sécurité et paix, nous ne pouvons pas vivre dans la cohésion. Sans sécurité et paix, nous sommes laissés à nous-mêmes. La question de la sécurité est fondamentale pour notre parti », a-t-il confié devant ses militants.

Transition guinéenne : la Cédéao dans l’attente d’un chronogramme des élections

La Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement, réunie pour la troisième fois en sommet extraordinaire pour débattre de la situation politique en Guinée, encourage les autorités de la transition à lui soumettre « rapidement » ce document.

 

En Guinée, la Charte de la transition est entrée en vigueur le 28 septembre. Trois jours plus tard, le colonel Mamady Doumbouya a prêté serment comme président de la transition. Depuis, l’auteur du coup d’État contre Alpha Condé a nommé un Premier ministre civil et entamé la formation du gouvernement de transition.

Dans le communiqué final du sommet extraordinaire, tenu le 7 novembre à Accra, au Ghana,  la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement a pris note de ces « derniers développements ».

Elle a demandé aux autorités de la transition de détailler, dans un chronogramme, les activités à entreprendre en vue d’assurer la tenue d’élections. Pour les inciter à respecter toutes les directives visant à rétablir l’ordre constitutionnel, les dirigeants ouest-africains ont maintenu « la suspension de la Guinée de toutes les instances de la Cédéao, outre l’interdiction des voyages et le gel des avoirs financiers des membres du CNRD (Comité National pour le Redressement et le Développement) et de leurs familles ».

Se prononçant sur le sort du président déchu, la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement a exigé « la libération immédiate et sans condition » d’Alpha Condé. Pour renforcer le « dialogue avec les autorités de la transition et favoriser la réussite d’un processus de transition dans les plus brefs délais », le diplomate ghanéen, Dr Mohamed Ibn Chambas, a été nommé Envoyé spécial en Guinée.

La Conférence chefs d’Etat et de gouvernement, avant de prendre des décisions, a suivi un rapport présenté par le président en exercice de la Cédéao, Nana Akufo-Addo, sur les résultats de la visite qu’il a effectuée en Guinée en compagnie d’Alassane Ouattara le 17 septembre ainsi que sa visite au Mali le 17 octobre.

L’instance a également examiné le rapport définitif relatif à la situation politique au Mali présenté par le Médiateur de la Cédéao dans ce pays ainsi que le mémorandum sur la situation politique en Guinée présenté par le président de la Commission de la Cédéao, Jean-Claude  Kassi Brou.

Alassane Ouattara, Umaro Sissoco Embaló, Mohamed Bazoum et Macky Sall, respectivement présidents de la Côte d’Ivoire, de la Guinée Bissau, du Niger et du Sénégal, ont effectué le déplacement à Accra.

Tout comme Mariam Chabi Talata, vice-présidente du Bénin, Yemi Osinbajo, vice-président du Nigeria, Seedy Keita, ministre gambien du Commerce, de l’Industrie, de l’Intégration régionale et de l’Emploi, Dee-Maxwell Seah Kemayah, ministre libérien des Affaires étrangères, Robert Dussey, ministre togolais des Affaires étrangères, de l’Intégration régionale et des Togolais de l’extérieur, Belarmino Silva, ambassadeur du Cabo Verde au Nigeria et Francess Virginia Anderson, Haut-Commissaire de la Sierra-Leone au Ghana.

Transition guinéenne : la Cédéao dans l’attente d’un chronogramme des élections

La Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement, réunie pour la troisième fois en sommet extraordinaire pour débattre de la situation politique en Guinée, encourage les autorités de la transition à lui soumettre « rapidement » ce document.En Guinée, la Charte de la transition est entrée en vigueur le 28 septembre. Trois jours plus tard, le colonel Mamady Doumbouya a prêté serment comme président de la transition. Depuis, l’auteur du coup d’État contre Alpha Condé a nommé un Premier ministre civil et entamé la formation du gouvernement de transition.

Dans le communiqué final du sommet extraordinaire, tenu le 7 novembre à Accra, au Ghana,  la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement a pris note de ces « derniers développements ».

Elle a demandé aux autorités de la transition de détailler, dans un chronogramme, les activités à entreprendre en vue d’assurer la tenue d’élections. Pour les inciter à respecter toutes les directives visant à rétablir l’ordre constitutionnel, les dirigeants ouest-africains ont maintenu « la suspension de la Guinée de toutes les instances de la Cédéao, outre l’interdiction des voyages et le gel des avoirs financiers des membres du CNRD (Comité National pour le Redressement et le Développement) et de leurs familles ».

Se prononçant sur le sort du président déchu, la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement a exigé « la libération immédiate et sans condition » d’Alpha Condé. Pour renforcer le « dialogue avec les autorités de la transition et favoriser la réussite d’un processus de transition dans les plus brefs délais », le diplomate ghanéen, Dr Mohamed Ibn Chambas, a été nommé Envoyé spécial en Guinée.

La Conférence chefs d’Etat et de gouvernement, avant de prendre des décisions, a suivi un rapport présenté par le président en exercice de la Cédéao, Nana Akufo-Addo, sur les résultats de la visite qu’il a effectuée en Guinée en compagnie d’Alassane Ouattara le 17 septembre ainsi que sa visite au Mali le 17 octobre.

L’instance a également examiné le rapport définitif relatif à la situation politique au Mali présenté par le Médiateur de la Cédéao dans ce pays ainsi que le mémorandum sur la situation politique en Guinée présenté par le président de la Commission de la Cédéao, Jean-Claude  Kassi Brou.

Alassane Ouattara, Umaro Sissoco Embaló, Mohamed Bazoum et Macky Sall, respectivement présidents de la Côte d’Ivoire, de la Guinée Bissau, du Niger et du Sénégal, ont effectué le déplacement à Accra.

Tout comme Mariam Chabi Talata, vice-présidente du Bénin, Yemi Osinbajo, vice-président du Nigeria, Seedy Keita, ministre gambien du Commerce, de l’Industrie, de l’Intégration régionale et de l’Emploi, Dee-Maxwell Seah Kemayah, ministre libérien des Affaires étrangères, Robert Dussey, ministre togolais des Affaires étrangères, de l’Intégration régionale et des Togolais de l’extérieur, Belarmino Silva, ambassadeur du Cabo Verde au Nigeria et Francess Virginia Anderson, Haut-Commissaire de la Sierra-Leone au Ghana.

La presse marocaine décrypte le discours royal à l’occasion de la Marche verte

Les quotidiens marocains parus ce lundi consacrent de larges commentaires au discours royal du 6 novembre à l’occasion de la Marche verte.+Al Akhbar+ écrit que la marocanité du Sahara est une vérité immuable et n’est pas négociable. Le Maroc n’engagera aucune démarche d’ordre économique ou commercial qui exclurait le Sahara marocain, poursuit le quotidien en citant des extraits du discours royal. Le message est clair et est surtout adressé à ceux qui affichent des positions floues ou ambivalentes au sujet de l’intégrité territoriale du Royaume.

En d’autres termes, explique le quotidien, la question du Sahara s’est désormais inscrite dans une dynamique positive imparable. Et le Maroc ne va plus entreprendre aucune initiative économique et commerciale avec ses partenaires sans que cette initiative intègre la totalité de son territoire.

Le Souverain, ajoute le quotidien, a souligné que la marocanité du Sahara est une vérité aussi pérenne qu’immuable et ne souffre, de ce fait, d’aucune contestation. « D’abord, parce que la légitimité de notre cause est validée par les annales de l’histoire, ensuite parce que tel est le vœu profond et le souhait ardent de la population sahraouie, enfin parce qu’une reconnaissance internationale d’envergure vient l’entériner ».

De son côté, +Assabah+ se focalise sur le fait que le Sahara ne saurait faire l’objet d’aucune négociation ou tractation de quelque nature que ce soit. Le quotidien relève que le Souverain a également réitéré l’engagement du Royaume en faveur de la recherche d’une solution pacifique pour le maintien du cessez-le-feu et la poursuite de la coordination et de la coopération avec la Minurso, dans la stricte limite des attributions qui lui sont assignées.

Toujours en faisant référence à ce discours prononcé à l’occasion du 46e anniversaire de la Marche Verte, le quotidien met en avant le soutien concret dont jouit la cause nationale. La décision souveraine des États-Unis d’Amérique de reconnaître la souveraineté pleine et entière du Maroc sur son Sahara constitue ainsi un sujet de fierté pour le Royaume.

Cette reconnaissance est le corollaire naturel de l’appui constant des administrations américaines antérieures et l’illustration de leur apport constructif au processus de règlement de la question du Sahara. Dans le même ordre d’idées, la décision de plus de 24 pays d’ouvrir des consulats à Laâyoune ou à Dakhla vient confirmer le large soutien dont bénéficie la position marocaine, surtout au sein de l’environnement arabo-africain du Royaume, souligne le quotidien.

+Al Massae+ indique que le discours royal comporte cinq axes principaux. Citant un analyste politique, le journal relève que l’ouverture de 24 consulats n’est pas chose à prendre à la légère. C’est un acte souverain des Etats souverains qui rentre dans le cadre de la Convention de Vienne de 1963. Le deuxième axe de ce discours étant le caractère immuable de la marocanité du Sahara qui « ne sera jamais à l’ordre du jour d’une quelconque tractation ».

Le troisième axe sur lequel s’est arrêté le quotidien est le rythme de développement que connaissent les provinces du Sud qui vivent un essor général, illustré par le développement des infrastructures et la réalisation de projets économiques et sociaux.

Le quatrième message à retenir de ce discours est celui adressé directement aux partenaires du Maroc qui adoptent des positions floues ou ambivalentes. A ces derniers, le Maroc affirme qu’il n’engagera avec eux aucune démarche d’ordre économique ou commercial qui exclurait le Sahara marocain. En dernier lieu, conclut le quotidien, le Souverain s’est adressé aux cinq peuples du Maghreb, auxquels il a exprimé ses vœux les plus sincères d’unité et de stabilité, de progrès et de prospérité.

La presse marocaine décrypte le discours royal à l’occasion de la Marche verte

Les quotidiens marocains parus ce lundi consacrent de larges commentaires au discours royal du 6 novembre à l’occasion de la Marche verte.+Al Akhbar+ écrit que la marocanité du Sahara est une vérité immuable et n’est pas négociable. Le Maroc n’engagera aucune démarche d’ordre économique ou commercial qui exclurait le Sahara marocain, poursuit le quotidien en citant des extraits du discours royal. Le message est clair et est surtout adressé à ceux qui affichent des positions floues ou ambivalentes au sujet de l’intégrité territoriale du Royaume.

En d’autres termes, explique le quotidien, la question du Sahara s’est désormais inscrite dans une dynamique positive imparable. Et le Maroc ne va plus entreprendre aucune initiative économique et commerciale avec ses partenaires sans que cette initiative intègre la totalité de son territoire.

Le Souverain, ajoute le quotidien, a souligné que la marocanité du Sahara est une vérité aussi pérenne qu’immuable et ne souffre, de ce fait, d’aucune contestation. « D’abord, parce que la légitimité de notre cause est validée par les annales de l’histoire, ensuite parce que tel est le vœu profond et le souhait ardent de la population sahraouie, enfin parce qu’une reconnaissance internationale d’envergure vient l’entériner ».

De son côté, +Assabah+ se focalise sur le fait que le Sahara ne saurait faire l’objet d’aucune négociation ou tractation de quelque nature que ce soit. Le quotidien relève que le Souverain a également réitéré l’engagement du Royaume en faveur de la recherche d’une solution pacifique pour le maintien du cessez-le-feu et la poursuite de la coordination et de la coopération avec la Minurso, dans la stricte limite des attributions qui lui sont assignées.

Toujours en faisant référence à ce discours prononcé à l’occasion du 46e anniversaire de la Marche Verte, le quotidien met en avant le soutien concret dont jouit la cause nationale. La décision souveraine des États-Unis d’Amérique de reconnaître la souveraineté pleine et entière du Maroc sur son Sahara constitue ainsi un sujet de fierté pour le Royaume.

Cette reconnaissance est le corollaire naturel de l’appui constant des administrations américaines antérieures et l’illustration de leur apport constructif au processus de règlement de la question du Sahara. Dans le même ordre d’idées, la décision de plus de 24 pays d’ouvrir des consulats à Laâyoune ou à Dakhla vient confirmer le large soutien dont bénéficie la position marocaine, surtout au sein de l’environnement arabo-africain du Royaume, souligne le quotidien.

+Al Massae+ indique que le discours royal comporte cinq axes principaux. Citant un analyste politique, le journal relève que l’ouverture de 24 consulats n’est pas chose à prendre à la légère. C’est un acte souverain des Etats souverains qui rentre dans le cadre de la Convention de Vienne de 1963. Le deuxième axe de ce discours étant le caractère immuable de la marocanité du Sahara qui « ne sera jamais à l’ordre du jour d’une quelconque tractation ».

Le troisième axe sur lequel s’est arrêté le quotidien est le rythme de développement que connaissent les provinces du Sud qui vivent un essor général, illustré par le développement des infrastructures et la réalisation de projets économiques et sociaux.

Le quatrième message à retenir de ce discours est celui adressé directement aux partenaires du Maroc qui adoptent des positions floues ou ambivalentes. A ces derniers, le Maroc affirme qu’il n’engagera avec eux aucune démarche d’ordre économique ou commercial qui exclurait le Sahara marocain. En dernier lieu, conclut le quotidien, le Souverain s’est adressé aux cinq peuples du Maghreb, auxquels il a exprimé ses vœux les plus sincères d’unité et de stabilité, de progrès et de prospérité.

Le Sénégal lève 55 milliards F CFA sur le marché financier régional

L’opération financière est une émission par adjudication d’obligations assimilables du Trésor portant sur une maturité de trois ans.L’Etat du Sénégal, à travers la Direction générale de la Comptabilité publique et du Trésor, a collaboré le 5 novembre dernier avec l’Agence Umoa-Titres et la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Bceao) pour obtenir ces fonds devant participer à « la couverture des besoins de financement de l’année 2021 », annonce un communiqué du ministère des Finances et du Budget reçu lundi à APA.

Les soumissions reçues s’élèvent à 135,1 milliards F CFA, soit un taux de couverture de 270  %. Au final, le Sénégal a retenu 55 milliards F CFA avec un rendement moyen pondéré de 3,59  %. C’est le « meilleur taux jusqu’ici réalisé sur le marché régional des titres publics de l’Umoa (Union monétaire ouest africaine) pour la maturité de trois ans », précise le document.

Le ministère des Finances et du Budget indique que ce pourcentage est « en baisse de 1,82 % par rapport au taux moyen pondéré de 5,41 % enregistré lors de la précédente intervention de maturité similaire réalisée le 26 février 2021 ».

Cela tient au fait, ajoute-t-il, que les investisseurs ont surenchéri avec une surcote sur le prix pour être retenus avec des rendements inférieurs à celui (5 %) proposé par l’émetteur. « Toutes les souscriptions retenues ou non ont été faites sans décote du prix », signale le communiqué.

En outre, le ministère des Finances et du Budget explique cette évolution baissière par les efforts de repositionnement de la courbe des taux accomplis par la Direction générale de la Comptabilité publique et du Trésor.

Des actions qui font suite à la notation financière en monnaie locale établie par Bloomfield (note A-, c’est-à-dire risque faible) à long terme avec une perspective stable, et note A2 à court terme avec une perspective stable.

Tout compte fait, se réjouit le ministère des Finances et du Budget, ces résultats traduisent la confiance renouvelée des investisseurs dans la qualité de la signature de l’Etat du Sénégal qui continue à se positionner comme émetteur de référence sur le marché régional des titres publics de l’Umoa.

Le Sénégal lève 55 milliards F CFA sur le marché financier régional

L’opération financière est une émission par adjudication d’obligations assimilables du Trésor portant sur une maturité de trois ans.L’Etat du Sénégal, à travers la Direction générale de la Comptabilité publique et du Trésor, a collaboré le 5 novembre dernier avec l’Agence Umoa-Titres et la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Bceao) pour obtenir ces fonds devant participer à « la couverture des besoins de financement de l’année 2021 », annonce un communiqué du ministère des Finances et du Budget reçu lundi à APA.

Les soumissions reçues s’élèvent à 135,1 milliards F CFA, soit un taux de couverture de 270  %. Au final, le Sénégal a retenu 55 milliards F CFA avec un rendement moyen pondéré de 3,59  %. C’est le « meilleur taux jusqu’ici réalisé sur le marché régional des titres publics de l’Umoa (Union monétaire ouest africaine) pour la maturité de trois ans », précise le document.

Le ministère des Finances et du Budget indique que ce pourcentage est « en baisse de 1,82 % par rapport au taux moyen pondéré de 5,41 % enregistré lors de la précédente intervention de maturité similaire réalisée le 26 février 2021 ».

Cela tient au fait, ajoute-t-il, que les investisseurs ont surenchéri avec une surcote sur le prix pour être retenus avec des rendements inférieurs à celui (5 %) proposé par l’émetteur. « Toutes les souscriptions retenues ou non ont été faites sans décote du prix », signale le communiqué.

En outre, le ministère des Finances et du Budget explique cette évolution baissière par les efforts de repositionnement de la courbe des taux accomplis par la Direction générale de la Comptabilité publique et du Trésor.

Des actions qui font suite à la notation financière en monnaie locale établie par Bloomfield (note A-, c’est-à-dire risque faible) à long terme avec une perspective stable, et note A2 à court terme avec une perspective stable.

Tout compte fait, se réjouit le ministère des Finances et du Budget, ces résultats traduisent la confiance renouvelée des investisseurs dans la qualité de la signature de l’Etat du Sénégal qui continue à se positionner comme émetteur de référence sur le marché régional des titres publics de l’Umoa.

Sénégal : la « folie meurtrière » du Dr Falla Paye en vedette dans la presse

Les quotidiens sénégalais parvenus lundi à APA titrent principalement sur le suicide d’un médecin-dentiste et la mort de ses trois enfants dimanche dans une clinique dakaroise.L’AS titre sur l’« horreur à Sacré-Cœur », quartier dakarois, où le dentiste Falla Paye a tué dimanche après-midi ses trois enfants avant de se suicider. Evoquant une « folie meurtrière », EnQuête note que le docteur « a administré une injection mortelle à ses trois enfants » avant de se donner la mort. Il avait tout planifié et balayé les soupçons puisque la veille du drame déjà, « Falla Paye disait être à Mbour avec sa famille ». Mais avant de passer à l’acte, le chirurgien-dentiste a laissé une « terrible lettre d’adieu », souligne le quotidien.

Expliquant « pourquoi Dr Falla Paye a tué ses 3 enfants et s’est suicidé », Vox Populi révèle « le contenu explosif de la lettre d’adieu dans laquelle il se défausse sur son ex-épouse », sinon la femme avec qui il est en instance de divorce. « Il ne faut pas qu’il y ait une descendance issue de ce mariage sans amour car j’ai été pour toi une roue de secours », a-t-il écrit.

L’Observateur fait également un « récit glaçant d’une tragédie familiale » et revient sur « les horribles constats de la police sur les lieux du crime ». Selon le journal, « les 3 enfants étaient tous alignés, aucune trace de violence sur leur corps ». Toutefois, Libération indique qu’«un des enfants présentait aussi des traces de blessures sur le corps ».

Le journal souligne que « le tribunal avait provisoirement confié la garde des enfants à leur maman avec qui il était en instance de divorce, le temps de juger l’affaire dans le fond ». « Arrivée sur les lieux du drame, la maman des enfants pique un malaise avant d’être évacuée ». En outre, Dr Falla Paye a indiqué dans sa lettre posthume : « Je ne regrette rien et que personne ne me juge ».

Sur un autre sujet, Walf Quotidien note que « Sonko et Khalifa (sont) prêts pour le combat » après la convocation par la justice de Barthélémy Dias et l’invalidation des listes de leur coalition Yewwi Askan Wi (libérer le peuple en wolof).

« Yewwi se braque » et fait « recours à la colère », notent respectivement Sud Quotidien et Le Quotidien. Pour le mandataire national de cette coalition de l’opposition, Déthié Fall, il est « hors de question de laisser cette forfaiture passer ». En revanche, la coalition présidentielle Benno Bokk Yakaar (unis pour un même espoir en wolof) « les traite d’incompétents et promet de faire face ».

En sport, le quotidien national Le Soleil se fait l’écho de la 8e édition du tournoi de lutte de la Cedeao où « le Sénégal impose sa suprématie ». Pour Sud Quotidien et EnQuête, l’équipe nationale de lutte « survole les débats » et « conserve son titre » dans cette compétition qui a pris fin ce week-end.

Sénégal : la « folie meurtrière » du Dr Falla Paye en vedette dans la presse

Les quotidiens sénégalais parvenus lundi à APA titrent principalement sur le suicide d’un médecin-dentiste et la mort de ses trois enfants dimanche dans une clinique dakaroise.L’AS titre sur l’« horreur à Sacré-Cœur », quartier dakarois, où le dentiste Falla Paye a tué dimanche après-midi ses trois enfants avant de se suicider. Evoquant une « folie meurtrière », EnQuête note que le docteur « a administré une injection mortelle à ses trois enfants » avant de se donner la mort. Il avait tout planifié et balayé les soupçons puisque la veille du drame déjà, « Falla Paye disait être à Mbour avec sa famille ». Mais avant de passer à l’acte, le chirurgien-dentiste a laissé une « terrible lettre d’adieu », souligne le quotidien.

Expliquant « pourquoi Dr Falla Paye a tué ses 3 enfants et s’est suicidé », Vox Populi révèle « le contenu explosif de la lettre d’adieu dans laquelle il se défausse sur son ex-épouse », sinon la femme avec qui il est en instance de divorce. « Il ne faut pas qu’il y ait une descendance issue de ce mariage sans amour car j’ai été pour toi une roue de secours », a-t-il écrit.

L’Observateur fait également un « récit glaçant d’une tragédie familiale » et revient sur « les horribles constats de la police sur les lieux du crime ». Selon le journal, « les 3 enfants étaient tous alignés, aucune trace de violence sur leur corps ». Toutefois, Libération indique qu’«un des enfants présentait aussi des traces de blessures sur le corps ».

Le journal souligne que « le tribunal avait provisoirement confié la garde des enfants à leur maman avec qui il était en instance de divorce, le temps de juger l’affaire dans le fond ». « Arrivée sur les lieux du drame, la maman des enfants pique un malaise avant d’être évacuée ». En outre, Dr Falla Paye a indiqué dans sa lettre posthume : « Je ne regrette rien et que personne ne me juge ».

Sur un autre sujet, Walf Quotidien note que « Sonko et Khalifa (sont) prêts pour le combat » après la convocation par la justice de Barthélémy Dias et l’invalidation des listes de leur coalition Yewwi Askan Wi (libérer le peuple en wolof).

« Yewwi se braque » et fait « recours à la colère », notent respectivement Sud Quotidien et Le Quotidien. Pour le mandataire national de cette coalition de l’opposition, Déthié Fall, il est « hors de question de laisser cette forfaiture passer ». En revanche, la coalition présidentielle Benno Bokk Yakaar (unis pour un même espoir en wolof) « les traite d’incompétents et promet de faire face ».

En sport, le quotidien national Le Soleil se fait l’écho de la 8e édition du tournoi de lutte de la Cedeao où « le Sénégal impose sa suprématie ». Pour Sud Quotidien et EnQuête, l’équipe nationale de lutte « survole les débats » et « conserve son titre » dans cette compétition qui a pris fin ce week-end.

Prix d’excellence 2021: l’OSEP, l’administration publique ivoirienne la plus innovante

L’Observatoire du service public (OSEP) de Côte d’Ivoire a reçu le Prix d’excellence de l’administration publique moderne la plus innovante, à l’occasion de l’édition 2021 de la Journée nationale de l’excellence, tenue vendredi au palais présidentiel, à Abidjan.

L’OSEP, organe de veille permanent, permettant d’apprécier l’efficacité et la transparence du service public, par le recueil et le traitement des préoccupations des usagers de l’administration publique, a décroché ce sésame pour sa qualité de service.

Selon les critères de sélection, l’observatoire a été retenu pour la qualité de ses ressources humaines, l’utilisation d’outils innovants dans ses process, la qualité de sa gestion financière, l’operationnalité du service, de ses équipements et l’environnement de travail. 

Il utilise les modes de saisine classiques, tél l’appel, le courriel, le courrier physique, l’auto-saisine, des outils qui ont été renforcés par une plateforme digitale dénommée le portail du Citoyen « Miliê ».

De 386 requêtes enregistrées en 2018, le nombre de requêtes est passé du 1er janvier au 11 juin 2020, à 3 309, soit une augmentation de 685,29%. Ce qui traduit le dynamisme du dispositif de recueil des requêtes et l’interaction effective administration/usagers.

Ces performances ont impacté positivement la gouvernance des administrations publiques ainsi que la situation socio-économique des populations. Toute chose qui contribue à l’amélioration de la qualité du service public.

La cérémonie de remise du Prix national de l’excellence s’est tenue en présence du chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, et la Première dame Dominique Ouattara, ainsi que des présidents d’institutions et des membres du gouvernement. 

Prix d’excellence 2021: l’OSEP, l’administration publique ivoirienne la plus innovante

L’Observatoire du service public (OSEP) de Côte d’Ivoire a reçu le Prix d’excellence de l’administration publique moderne la plus innovante, à l’occasion de l’édition 2021 de la Journée nationale de l’excellence, tenue vendredi au palais présidentiel, à Abidjan.

L’OSEP, organe de veille permanent, permettant d’apprécier l’efficacité et la transparence du service public, par le recueil et le traitement des préoccupations des usagers de l’administration publique, a décroché ce sésame pour sa qualité de service.

Selon les critères de sélection, l’observatoire a été retenu pour la qualité de ses ressources humaines, l’utilisation d’outils innovants dans ses process, la qualité de sa gestion financière, l’operationnalité du service, de ses équipements et l’environnement de travail. 

Il utilise les modes de saisine classiques, tél l’appel, le courriel, le courrier physique, l’auto-saisine, des outils qui ont été renforcés par une plateforme digitale dénommée le portail du Citoyen « Miliê ».

De 386 requêtes enregistrées en 2018, le nombre de requêtes est passé du 1er janvier au 11 juin 2020, à 3 309, soit une augmentation de 685,29%. Ce qui traduit le dynamisme du dispositif de recueil des requêtes et l’interaction effective administration/usagers.

Ces performances ont impacté positivement la gouvernance des administrations publiques ainsi que la situation socio-économique des populations. Toute chose qui contribue à l’amélioration de la qualité du service public.

La cérémonie de remise du Prix national de l’excellence s’est tenue en présence du chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, et la Première dame Dominique Ouattara, ainsi que des présidents d’institutions et des membres du gouvernement. 

Des évangéliques décident à Abidjan de plus s’engager dans les oeuvres sociales

Des dirigeants d’églises évangéliques de plus d’une dizaine de pays de la planète, ont à l’issue d’une conférence internationale à Abidjan, décidé ce week-end de s’engager davantage dans les œuvres sociales.

Selon Dr Dieunedort Kamdem, l’Assemblée générale a invité les confessions évangéliques à « mieux s’engager dans les oeuvres sociales », car « l’église doit penser ce monde meurtri, les orphelins, les veufs, les drogués, etc ».

« Nous devons de plus en plus manifester l’amour de Christ en prenant soin de ceux qui sont autour de nous », a-t-il ajouté, indiquant que les dirigeants des églises présentes à la conférence, ont décidé d’assister les épouses de pasteurs qui sont veuves.  

Lorsque les pasteurs meurent, beaucoup laissent des épouses et des enfants qui n’ont pratiquement rien dans un compte bancaire. De ce fait, l’Assemblée a résolu qu’à la perte de leur époux, elles puissent avoir un fonds qui leur permette de prendre soin de leurs enfants, a-t-il dit.  

Sans ambages, il a martelé que « l’église semble ne plus avoir de repère, elle n’est plus le sel de la terre et la lumière du monde. (Parce que) ce qui s’est passé dans les temps apostoliques semble disparaître de nos jours ». 

A travers cette conférence internationale qui a vu la participation de près de 17 nations, des hommes et des femmes de Dieu, venus entre autres, de la France, la Belgique, le Canada, Cameroun,  Gabon, Togo, Bénin, Italie, Haïti, ont célébré Dieu pour ses grâces. 

 Les réflexions, poursuivra-t-il, ont soutenu que les hommes et les femmes peuvent répondre aux problèmes sociaux, c’est pourquoi des décisions ont été prises pour l’évolution de l’église et permettre au corps de Christ d’être plus représentatif dans la société. 

« L’égalisé doit se positionner comme l’interprète des visions, des rois, des hommes d’affaires et des administrateurs », a fait savoir Dr Dieunedort Kamdem, en marge de  la 30e édition de la Conférence internationale des dirigeants d’églises évangéliques du monde, tenue au siège de la Mission royale ange de Nazareth (MIRAN).

Depuis le 3 novembre 2021, la Côte d’Ivoire accueille 200 prophètes, évêques, diacres et pasteurs,  venus de plus d’une dizaine de pays. La conférence a regroupé quelque 2000 âmes qui ont dans la ferveur célébré l’Éternel. 

Ce rendez-vous marque par ailleurs les 30 ans de la CIFI, un moment de réflexion et de formation pour répondre aux problématiques, telles les catastrophes, les épidémies, la pauvreté qui impactent le monde.   

A l’occasion de cette rencontre, il y a eu une ordination de 40 pasteurs, prophètes et apôtres, tandis que deux évêques ont été consacrés. Dr Kamdem a lancé un appel à la réconciliation et au rassemblement en Côte d’Ivoire.  

Selon Dr Dieunedort Kamdem, président fondateur de la Mission royale ange de Nazareth (Miran) – Cathédrale de la foi, la confession religieuse compte dans le monde 78 églises réparties dans les trois continents. Après le Canada, la Mira a vu le jour en Côte d’Ivoire. 

Des étudiants ivoiriens instruits sur les enjeux de l’innovation technologique

L’Ecole supérieure Africaine des technologies de l’information et de la communication (ESATIC), une grande école publique ivoirienne, a ouvert vendredi ses portes pour l’année académique 2021-2022 par une conférence sur les enjeux de l’innovation technologique.

Cette rentrée solennelle, couplée d’une conférence inaugurale sur le thème « Développement de compétences et innovation », était animée par M. Roger Félix Adom, le ministre de l’Economie numérique, des télécommunications et de l’innovation.

À travers cette conférence, l’établissement veut amener ses étudiants à  comprendre et à s’approprier les stratégies et recommandations en matière de compétences numériques et l’innovation technologique.  

Les exposés développés ont permis d’informer les apprenants sur les progrès et les nouveaux métiers du secteur des télécommunication /TIC et de leur faire comprendre les enjeux de l’innovation pour le développement du pays. 

Cet espace initié par la direction générale de la grande école a également permis de renforcer la motivation des jeunes, surtout les filles esaticiennes aux métiers du numérique. 

Au cours de cette cérémonie, il a été procédé à la présentation des enseignants chercheurs de l’Esatic promus au Cames, ainsi que les 16 apprenants qui représenteront l’Esatic au concours national de la ICT Compétition de Huawei.

Le directeur général de l’Esatic, le professeur Adama Konaté, a fait savoir que de 100 étudiants en 2012, l’école compte aujourd’hui 808 étudiants répartis dans cinq parcours de licence et sept parcours de Master.

Ces différents parcours ont été conçus et mis en place avec le soutien et la participation effective du secteur privé des TIC, notamment le Gotic et l’Union nationale des entreprises de télécommunications (Unetel). 

Selon le professeur Adama Konaté, sept de ces parcours sont accrédités par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique et le Centre africain et Malgache pour l’enseignement supérieur et des écoles partenaires. 

« Les taux de réussite à l’Esatic restent bons. Nous enregistrons environ 97% des étudiants de l’Esatic qui ont une moyenne générale supérieure ou égale à 10 sur 20, et un taux de passage en classe supérieure qui est de l’ordre de 90% », a-t-il dit. 

Créée en 2012, l’Ecole supérieure africaine des technologies de l’information et de la communication (Esatic), est une grande école publique qui a pour mission de former des cadres dans le domaine des (Tic).

L’école a ouvert ses portes, conformément au calendrier fixé par le gouvernement et à mis en application, dès la rentrée académique 2012-2013 le système Licence Master Doctorat (LMD)

A l’aube des dix ans de fonctionnement, l’Esatic, l’institution peut être fière de son bilan avec l’homologation de ses parcours de formation, l’insertion de ses diplômés à 80% et l’obtention du Prix d’Excellence du président de la République trois année de suite. L’école a la certification ISO 9001 versions 2015.

Des étudiants ivoiriens instruits sur les enjeux de l’innovation technologique

L’Ecole supérieure Africaine des technologies de l’information et de la communication (ESATIC), une grande école publique ivoirienne, a ouvert vendredi ses portes pour l’année académique 2021-2022 par une conférence sur les enjeux de l’innovation technologique.

Cette rentrée solennelle, couplée d’une conférence inaugurale sur le thème « Développement de compétences et innovation », était animée par M. Roger Félix Adom, le ministre de l’Economie numérique, des télécommunications et de l’innovation.

À travers cette conférence, l’établissement veut amener ses étudiants à  comprendre et à s’approprier les stratégies et recommandations en matière de compétences numériques et l’innovation technologique.  

Les exposés développés ont permis d’informer les apprenants sur les progrès et les nouveaux métiers du secteur des télécommunication /TIC et de leur faire comprendre les enjeux de l’innovation pour le développement du pays. 

Cet espace initié par la direction générale de la grande école a également permis de renforcer la motivation des jeunes, surtout les filles esaticiennes aux métiers du numérique. 

Au cours de cette cérémonie, il a été procédé à la présentation des enseignants chercheurs de l’Esatic promus au Cames, ainsi que les 16 apprenants qui représenteront l’Esatic au concours national de la ICT Compétition de Huawei.

Le directeur général de l’Esatic, le professeur Adama Konaté, a fait savoir que de 100 étudiants en 2012, l’école compte aujourd’hui 808 étudiants répartis dans cinq parcours de licence et sept parcours de Master.

Ces différents parcours ont été conçus et mis en place avec le soutien et la participation effective du secteur privé des TIC, notamment le Gotic et l’Union nationale des entreprises de télécommunications (Unetel). 

Selon le professeur Adama Konaté, sept de ces parcours sont accrédités par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique et le Centre africain et Malgache pour l’enseignement supérieur et des écoles partenaires. 

« Les taux de réussite à l’Esatic restent bons. Nous enregistrons environ 97% des étudiants de l’Esatic qui ont une moyenne générale supérieure ou égale à 10 sur 20, et un taux de passage en classe supérieure qui est de l’ordre de 90% », a-t-il dit. 

Créée en 2012, l’Ecole supérieure africaine des technologies de l’information et de la communication (Esatic), est une grande école publique qui a pour mission de former des cadres dans le domaine des (Tic).

L’école a ouvert ses portes, conformément au calendrier fixé par le gouvernement et à mis en application, dès la rentrée académique 2012-2013 le système Licence Master Doctorat (LMD)

A l’aube des dix ans de fonctionnement, l’Esatic, l’institution peut être fière de son bilan avec l’homologation de ses parcours de formation, l’insertion de ses diplômés à 80% et l’obtention du Prix d’Excellence du président de la République trois année de suite. L’école a la certification ISO 9001 versions 2015.

Marche verte : Les cinq dimensions du discours royal

Propos recueillis par Hicham Alaoui — Le discours prononcé par le Roi Mohammed VI à l’occasion du 46ème anniversaire de la Marche verte reflète la force de l’engagement marocain et la profondeur des arguments et des réalisations tangibles qui consacrent la primauté de la question du Sahara comme priorité dans les politiques intérieure et étrangère du Royaume, a souligné Mohamed Bouden, politologue et président du Centre Atlas d’analyse des indicateurs politiques et institutionnels.Ce discours représente un message national qui consacre l’image que le Royaume mérite auprès de la communauté internationale et soutient ses aspirations internationales et régionales, a-t-il indiqué dans un entretien à APA.

Selon lui, le discours royal reflète de manière tangible que l’histoire moderne du Maroc est pleine de marches qui ont suivi la Marche verte aboutissant à des résultats fructueux et des bénéfices apparents.

Force est de constater que le discours royal comporte cinq dimensions, relève Mohamed Bouden. La première est liée au contexte riche en acquis et en défis. Concernant les acquis et le passage du Maroc d’une victoire à l’autre, il y a une dynamique qui résulte des acquis réalisés par le Maroc à travers l’intervention, le 13 novembre 2020, des Forces Armées Royales afin d’assurer la fluidité de la circulation des personnes et des marchandises au niveau du passage d’El Guerguerat, ainsi que l’impact de la reconnaissance des Etats Unis d’Amérique de la marocanité du Sahara sur la réalité stratégique dans la région et de la poursuite de la l’ouverture de consulats au Sahara, ce qui illustre le soutien international croissant à la marocanité du Sahara.

Il s’agit de décisions volontaires d’États souverains en harmonie avec le contenu de la Convention de Vienne sur les relations consulaires de 1963, a-t-il estimé.

Pour l’universitaire marocain, « c’est un élan qui ne peut être inversé dans le temps. Le Maroc affronte les défis avec clarté et sagesse, et consacre la marocanité du Sahara comme un fait qui représente sa propre norme avec la logique de l’histoire, de la réalité, de la reconnaissance internationale et de la volonté de la population du Sahara marocain.

La deuxième dimension renvoie au fait que le Roi Mohammed VI a affirmé dans les termes les plus clairs que le Sahara marocain « n’est pas à négocier et la marocanité du Sahara ne sera jamais à l’ordre du jour d’une quelconque tractation ». Aussi, le Souverain a exprimé son attachement à la légitimité internationale et aux références onusiennes depuis 2007, c’est-à-dire dans le cadre des 18 dernières résolutions du Conseil de sécurité, de la résolution 1754 à celle 2602.

La troisième dimension est liée au développement et au processus démocratique du Sahara marocain, qui ne dépend pas du cheminement international du dossier. Ainsi, le discours royal a mis en lumière le développement que connaît le Sahara marocain à différents niveaux, que ce soit à travers l’investissement national et la mise en œuvre du modèle de développement des provinces du sud ou au niveau des partenariats internationaux, ce qui se répercute sur les opportunités et l’environnement des affaires dans la région, a poursuivi M. Bouden.

Aujourd’hui, le Sahara marocain bénéficie d’éléments d’attractivité et de structures d’incubation de projets, et connaît un mouvement important et diversifié de citoyens et de capitaux, a-t-il noté.

Pour ce qui est de la quatrième dimension, elle est porteuse d’un message pour ceux qui ont des positions doubles et ambiguës concernant le Sahara marocain, dont le Maroc attend une autre logique qui traite de l’intégrité territoriale marocaine telle que les Marocains y croient pour atteindre des objectifs communs. Le Maroc veut travailler sur des bases claires et trouver des solutions aux crises.

Il est certain que le Maroc est attaché à des valeurs constantes envers ses partenaires traditionnels et nouveaux, mais il n’y a pas de place pour utiliser le dossier du Sahara marocain pour réaliser des gains géopolitiques avec duplicité ou ambiguïté des positions. Le Sahara marocain est la colonne vertébrale des partenariats internationaux avec le Maroc.

Pour la cinquième dimension, il est à signaler que le discours royal consolide les bases du destin commun entre les cinq peuples maghrébins, interagit avec le contexte sereinement et profondément et met certaines parties à l’heure de vérité. Par conséquent, le discours royal reflète la culture stratégique de l’Etat marocain qui relève les défis et défend avec une ferme conviction les efforts de prospérité, d’unité et de stabilité, soutient M. Bouden.

Marche verte : Les cinq dimensions du discours royal

Propos recueillis par Hicham Alaoui — Le discours prononcé par le Roi Mohammed VI à l’occasion du 46ème anniversaire de la Marche verte reflète la force de l’engagement marocain et la profondeur des arguments et des réalisations tangibles qui consacrent la primauté de la question du Sahara comme priorité dans les politiques intérieure et étrangère du Royaume, a souligné Mohamed Bouden, politologue et président du Centre Atlas d’analyse des indicateurs politiques et institutionnels.Ce discours représente un message national qui consacre l’image que le Royaume mérite auprès de la communauté internationale et soutient ses aspirations internationales et régionales, a-t-il indiqué dans un entretien à APA.

Selon lui, le discours royal reflète de manière tangible que l’histoire moderne du Maroc est pleine de marches qui ont suivi la Marche verte aboutissant à des résultats fructueux et des bénéfices apparents.

Force est de constater que le discours royal comporte cinq dimensions, relève Mohamed Bouden. La première est liée au contexte riche en acquis et en défis. Concernant les acquis et le passage du Maroc d’une victoire à l’autre, il y a une dynamique qui résulte des acquis réalisés par le Maroc à travers l’intervention, le 13 novembre 2020, des Forces Armées Royales afin d’assurer la fluidité de la circulation des personnes et des marchandises au niveau du passage d’El Guerguerat, ainsi que l’impact de la reconnaissance des Etats Unis d’Amérique de la marocanité du Sahara sur la réalité stratégique dans la région et de la poursuite de la l’ouverture de consulats au Sahara, ce qui illustre le soutien international croissant à la marocanité du Sahara.

Il s’agit de décisions volontaires d’États souverains en harmonie avec le contenu de la Convention de Vienne sur les relations consulaires de 1963, a-t-il estimé.

Pour l’universitaire marocain, « c’est un élan qui ne peut être inversé dans le temps. Le Maroc affronte les défis avec clarté et sagesse, et consacre la marocanité du Sahara comme un fait qui représente sa propre norme avec la logique de l’histoire, de la réalité, de la reconnaissance internationale et de la volonté de la population du Sahara marocain.

La deuxième dimension renvoie au fait que le Roi Mohammed VI a affirmé dans les termes les plus clairs que le Sahara marocain « n’est pas à négocier et la marocanité du Sahara ne sera jamais à l’ordre du jour d’une quelconque tractation ». Aussi, le Souverain a exprimé son attachement à la légitimité internationale et aux références onusiennes depuis 2007, c’est-à-dire dans le cadre des 18 dernières résolutions du Conseil de sécurité, de la résolution 1754 à celle 2602.

La troisième dimension est liée au développement et au processus démocratique du Sahara marocain, qui ne dépend pas du cheminement international du dossier. Ainsi, le discours royal a mis en lumière le développement que connaît le Sahara marocain à différents niveaux, que ce soit à travers l’investissement national et la mise en œuvre du modèle de développement des provinces du sud ou au niveau des partenariats internationaux, ce qui se répercute sur les opportunités et l’environnement des affaires dans la région, a poursuivi M. Bouden.

Aujourd’hui, le Sahara marocain bénéficie d’éléments d’attractivité et de structures d’incubation de projets, et connaît un mouvement important et diversifié de citoyens et de capitaux, a-t-il noté.

Pour ce qui est de la quatrième dimension, elle est porteuse d’un message pour ceux qui ont des positions doubles et ambiguës concernant le Sahara marocain, dont le Maroc attend une autre logique qui traite de l’intégrité territoriale marocaine telle que les Marocains y croient pour atteindre des objectifs communs. Le Maroc veut travailler sur des bases claires et trouver des solutions aux crises.

Il est certain que le Maroc est attaché à des valeurs constantes envers ses partenaires traditionnels et nouveaux, mais il n’y a pas de place pour utiliser le dossier du Sahara marocain pour réaliser des gains géopolitiques avec duplicité ou ambiguïté des positions. Le Sahara marocain est la colonne vertébrale des partenariats internationaux avec le Maroc.

Pour la cinquième dimension, il est à signaler que le discours royal consolide les bases du destin commun entre les cinq peuples maghrébins, interagit avec le contexte sereinement et profondément et met certaines parties à l’heure de vérité. Par conséquent, le discours royal reflète la culture stratégique de l’Etat marocain qui relève les défis et défend avec une ferme conviction les efforts de prospérité, d’unité et de stabilité, soutient M. Bouden.

Maroc : Le dossier de l’entente sur les prix des hydrocarbures attend la réforme de loi relative au Conseil de la Concurrence

Au Conseil de la concurrence, le dossier de l’entente sur les prix des hydrocarbures est en stand-by, au moment où les tarifs à la pompe poursuivent leur hausse depuis deux semaines.Dans une déclaration au site électronique +Hespress+, le président du Conseil, Ahmed Rahhou a affirmé qu’aucune décision relative aux hydrocarbures n’est à l’ordre du jour de son instance.

Même le rapport d’instruction sur de supposés pratiques anticoncurrentielles, hérité de son prédécesseur Driss Guerraoui, a fini par être rangé dans les tiroirs. 

Selon Ahmed Rahhou, l’examen de ce dossier a été mis en suspens en attendant la réforme de loi relative au Conseil, tel qu’indiqué dans le communiqué du cabinet royal daté du 22 mars 2021.

Dans ce communiqué, le Roi Mohammed VI avait ordonné la transmission au chef du gouvernement des recommandations de la Commission ad-hoc qu’il avait institué pour enquêter sur les décisions discordantes du Conseil de la concurrence au sujet des soupçons d’ententes entre les leaders du marché des hydrocarbures.

Près de 7 mois plus tard, le nouveau président du Conseil dit attendre la réforme de la loi réglementant son instance avant de reprendre en main le dossier des hydrocarbures.

L’ancien chef du gouvernement, Saâd Eddine El Othmani avait indiqué, en avril dernier, avoir chargé le secrétaire général du gouvernement et le ministre de l’Economie de se pencher sur la refonte de la loi 104.12 relative à la liberté des prix et la concurrence ainsi que la loi 20.12 relative au Conseil de la concurrence.

L’ex-chef du gouvernement s’était aussi engagé à finaliser ce chantier dans les plus brefs délais pour conférer aux lois sur la liberté des prix et de la concurrence les dimensions voulues par le Souverain. Mais selon une source gouvernementale citée par Hespress, « le manque de temps et l’agenda électoral » ont freiné cette réforme.

Maroc : Le dossier de l’entente sur les prix des hydrocarbures attend la réforme de loi relative au Conseil de la Concurrence

Au Conseil de la concurrence, le dossier de l’entente sur les prix des hydrocarbures est en stand-by, au moment où les tarifs à la pompe poursuivent leur hausse depuis deux semaines.Dans une déclaration au site électronique +Hespress+, le président du Conseil, Ahmed Rahhou a affirmé qu’aucune décision relative aux hydrocarbures n’est à l’ordre du jour de son instance.

Même le rapport d’instruction sur de supposés pratiques anticoncurrentielles, hérité de son prédécesseur Driss Guerraoui, a fini par être rangé dans les tiroirs. 

Selon Ahmed Rahhou, l’examen de ce dossier a été mis en suspens en attendant la réforme de loi relative au Conseil, tel qu’indiqué dans le communiqué du cabinet royal daté du 22 mars 2021.

Dans ce communiqué, le Roi Mohammed VI avait ordonné la transmission au chef du gouvernement des recommandations de la Commission ad-hoc qu’il avait institué pour enquêter sur les décisions discordantes du Conseil de la concurrence au sujet des soupçons d’ententes entre les leaders du marché des hydrocarbures.

Près de 7 mois plus tard, le nouveau président du Conseil dit attendre la réforme de la loi réglementant son instance avant de reprendre en main le dossier des hydrocarbures.

L’ancien chef du gouvernement, Saâd Eddine El Othmani avait indiqué, en avril dernier, avoir chargé le secrétaire général du gouvernement et le ministre de l’Economie de se pencher sur la refonte de la loi 104.12 relative à la liberté des prix et la concurrence ainsi que la loi 20.12 relative au Conseil de la concurrence.

L’ex-chef du gouvernement s’était aussi engagé à finaliser ce chantier dans les plus brefs délais pour conférer aux lois sur la liberté des prix et de la concurrence les dimensions voulues par le Souverain. Mais selon une source gouvernementale citée par Hespress, « le manque de temps et l’agenda électoral » ont freiné cette réforme.

Le Prix d’excellence ivoirien de la qualité décerné à la CIE

Le Prix ivoirien de la qualité décerné à la direction de la production d’électricité de la Compagnie ivoirienne d’électricité (DPE-CIE), a été remis vendredi par le Premier ministre Patrick Achi, au Palais présidentiel, lors de la Journée nationale de l’excellence.

Le prix a été réceptionné par le directeur général de la CIE, M. Ahmadou Bakayoko, lors d’une cérémonie en présence du chef de l’Etat M. Alassane Ouattara, de la Première dame Mme Dominique Ouattara, des présidents d’institutions et des membres du gouvernement.  

Cette distinction, qui récompense les entités qui se sont illustrées par la qualité de leurs produits et services dans le domaine du commerce et de l’industrie, est un concours organisé par la Direction de la promotion de la qualité et de la normalisation (DPQN) du ministère du Commerce et de l’industrie. 

Adressé à toutes les organisations publiques ou privées exerçant en Côte d’Ivoire et engagées dans une démarche qualité, ce prix vise à promouvoir la culture de la Qualité en Côte d’Ivoire et à inciter les entreprises à entreprendre une démarche qualité. 

Pour cette édition, le prix vient couronner la démarche qualité de la Direction de la Production d’Electricité de la CIE, déjà certifiée Qualité Sécurité Environnement (QSE) sur le périmètre production, transport et mouvement d’énergie.

Le directeur général de la CIE, dont l’entité est engagée dans la promotion de la qualité depuis de nombreuses années, a remercié l’Etat de Côte d’Ivoire pour cette reconnaissance, qui couronne les efforts de l’entreprise.   

M. Ahmadou Bakayoko a félicité l’ensemble de ses collaborateurs pour les efforts constants accomplis et les a exhortés à poursuivre la politique qualité qui n’a pour seul but que la satisfaction des engagements contractuels de la CIE avec l’Etat et celle de ses clients. 

« L’Excellence et la compétence technique de la CIE sont reconnues, entre autres, au niveau de la qualité de nos facteurs de production hydraulique et thermique ; et cela représente un grand honneur pour tous les braves agents de notre entreprise », a déclaré M. Ahmadou Bakayoko. 

Le déficit de qualité des produits et des services constitue l’un des freins majeurs à la participation des Etats membres de la région ouest-africaine au commerce mondial et à la compétitivité. 

Pour permettre à la Côte d’Ivoire de se positionner au rang des nations émergentes, le gouvernement ivoirien, à travers le ministère chargé de l’Industrie, s’est résolument engagé à créer les conditions d’un environnement favorable pour le développement de la qualité.

C’est dans ce cadre que l’Etat de Côte d’Ivoire a institué le 13 juin 2002, le concours du Prix Ivoirien de la Qualité et confié son organisation au ministère de l’Industrie et des mines, à travers la Direction de la Promotion de la Qualité et de la Normalisation.

Ce sont au total 84 lauréats dont 48 personnes physiques, issus de l’édition 2020 auxquels se sont ajoutés ceux de l’année 2021 du secteur Education-Formation professionnelle, qui ont reçu leurs Prix au cours de cette cérémonie.

Intervenant à cette occasion, le chef de l’Etat ivoirien a exprimé sa joie de présider la traditionnelle Journée nationale de l’excellence qui est devenue une opportunité de raffermissement de l’unité nationale autour des valeurs du travail et du mérite. 

M. Ouattara a exprimé ses vives félicitations aux lauréats de cette 8ème édition du Prix national d’excellence, et souhaité la pérennisation de la Journée nationale de l’excellence, pour une saine compétition des talents du pays.  Ce prix est constitué d’un diplôme, d’un trophée et d’un chèque de 10 millions de FCFA.

Le Prix d’excellence ivoirien de la qualité décerné à la CIE

Le Prix ivoirien de la qualité décerné à la direction de la production d’électricité de la Compagnie ivoirienne d’électricité (DPE-CIE), a été remis vendredi par le Premier ministre Patrick Achi, au Palais présidentiel, lors de la Journée nationale de l’excellence.

Le prix a été réceptionné par le directeur général de la CIE, M. Ahmadou Bakayoko, lors d’une cérémonie en présence du chef de l’Etat M. Alassane Ouattara, de la Première dame Mme Dominique Ouattara, des présidents d’institutions et des membres du gouvernement.  

Cette distinction, qui récompense les entités qui se sont illustrées par la qualité de leurs produits et services dans le domaine du commerce et de l’industrie, est un concours organisé par la Direction de la promotion de la qualité et de la normalisation (DPQN) du ministère du Commerce et de l’industrie. 

Adressé à toutes les organisations publiques ou privées exerçant en Côte d’Ivoire et engagées dans une démarche qualité, ce prix vise à promouvoir la culture de la Qualité en Côte d’Ivoire et à inciter les entreprises à entreprendre une démarche qualité. 

Pour cette édition, le prix vient couronner la démarche qualité de la Direction de la Production d’Electricité de la CIE, déjà certifiée Qualité Sécurité Environnement (QSE) sur le périmètre production, transport et mouvement d’énergie.

Le directeur général de la CIE, dont l’entité est engagée dans la promotion de la qualité depuis de nombreuses années, a remercié l’Etat de Côte d’Ivoire pour cette reconnaissance, qui couronne les efforts de l’entreprise.   

M. Ahmadou Bakayoko a félicité l’ensemble de ses collaborateurs pour les efforts constants accomplis et les a exhortés à poursuivre la politique qualité qui n’a pour seul but que la satisfaction des engagements contractuels de la CIE avec l’Etat et celle de ses clients. 

« L’Excellence et la compétence technique de la CIE sont reconnues, entre autres, au niveau de la qualité de nos facteurs de production hydraulique et thermique ; et cela représente un grand honneur pour tous les braves agents de notre entreprise », a déclaré M. Ahmadou Bakayoko. 

Le déficit de qualité des produits et des services constitue l’un des freins majeurs à la participation des Etats membres de la région ouest-africaine au commerce mondial et à la compétitivité. 

Pour permettre à la Côte d’Ivoire de se positionner au rang des nations émergentes, le gouvernement ivoirien, à travers le ministère chargé de l’Industrie, s’est résolument engagé à créer les conditions d’un environnement favorable pour le développement de la qualité.

C’est dans ce cadre que l’Etat de Côte d’Ivoire a institué le 13 juin 2002, le concours du Prix Ivoirien de la Qualité et confié son organisation au ministère de l’Industrie et des mines, à travers la Direction de la Promotion de la Qualité et de la Normalisation.

Ce sont au total 84 lauréats dont 48 personnes physiques, issus de l’édition 2020 auxquels se sont ajoutés ceux de l’année 2021 du secteur Education-Formation professionnelle, qui ont reçu leurs Prix au cours de cette cérémonie.

Intervenant à cette occasion, le chef de l’Etat ivoirien a exprimé sa joie de présider la traditionnelle Journée nationale de l’excellence qui est devenue une opportunité de raffermissement de l’unité nationale autour des valeurs du travail et du mérite. 

M. Ouattara a exprimé ses vives félicitations aux lauréats de cette 8ème édition du Prix national d’excellence, et souhaité la pérennisation de la Journée nationale de l’excellence, pour une saine compétition des talents du pays.  Ce prix est constitué d’un diplôme, d’un trophée et d’un chèque de 10 millions de FCFA.

Trois ministres ivoiriens se prêtent au jeu du mannequin à un défilé de modes

Trois ministres ivoiriens se sont prêtés samedi nuit, au jeu du mannequin, lors d’un défilé de modes, à l’occasion de la 15e édition de Afrik fashion show, tenue à Abidjan.

Invités par le maître de cérémonie, l’animatrice télé Mariam Coulibaly, le ministre du Tourisme et des loisirs, Siandou Fofana, la cheffe de de la diplomatie Kandia Camara, et le ministre de la Promotion des PME et de l’artisanat, Félix Anoblé, ont défilé sous des slaves d’applaudissements du public. 

Peu avant, l’artiste ivoirien Manadja, membre du Groupe Magic System, est apparu sur la scène, vêtu d’un complet pourpre, esquissant des pas tout le long du podium pour exhiber son apparat, somptueux et d’éclat. Il avait à ses côtés l’animatrice télé de Caroline DaSylva. 

Les mannequins ayant fait la parade d’ouverture de l’édition 2021 de Afrik fashion show, promue par l’Ivoirienne Isabelle Anoh, étaient habillés par le styliste de renom, Pathé’O, l’un des couturiers de feu Nelson Mandela.

Pathé’O a dit « merci aux ministres qui ont rehaussé cette cérémonie par leur présence », avant de lancer à l’endroit de l’assistance « portez (ce que le continent produit parce que)  l’Afrique doit se développer par les Africains ».

La 15e session de cette grande messe de la mode, dédiée à la « créativité et à l’élégance », a eu pour thème « Valorisation du Made in Côte d’Ivoire ». Cette thématique illustre le combat du label Made in Côte d’Ivoire de Mme Isabelle Anoh. 

Meeting de la créativité,  sur les bords de la lagune Ebrié,  Afrik fashion show, a pris le pari de réunir 15 stylistes ivoiriens représentant quatre générations de créateurs, qui ont exposé leur savoir-faire. 

L’une des innovations de cette édition, est la vente éphémère qui a débuté dans la matinée de samedi et qui a pris fin après le défilé qui a démontré la résilience des stylistes et des créateurs de modes, également impactés par les effets de la pandémie de Covid-19.

« Les marques ivoiriennes qui exposent nous confortent dans le choix de valoriser le label Made in Côte d’Ivoire », a déclaré Mme Isabelle Anoh, qui a salué les acteurs de l’écosystème, les mannequins, les fabriquants de textiles, ceux de de la coiffure et de la cosmétique.   

De Tendance Party à Afrik fashion show, Isabelle Anoh, en dépit des défis du parcours, a toujours su donner une impulsion à son rêve et à sa passion. Cela fait 15 ans que dure cette aventure qui se bonifie au fil des ans. 

Elle a annoncé que dès la 16e édition, Afrik fashion show se nommera désormais « Afrik fashion week » et s’étendra sur plusieurs jours avec un Comité scientifique, un Comité organisationnel et une participation plus accrue des acteurs de la mode.  

Plus d’un millier de personnes, ferrures de la mode et venus de divers horizons du continent, ont pris part à la 15e édition de Afrik fashion show, qui a dévoilé des marques telles « Missano » by I. Anoh ou encore Diamond couture.  

Trois ministres ivoiriens se prêtent au jeu du mannequin à un défilé de modes

Trois ministres ivoiriens se sont prêtés samedi nuit, au jeu du mannequin, lors d’un défilé de modes, à l’occasion de la 15e édition de Afrik fashion show, tenue à Abidjan.

Invités par le maître de cérémonie, l’animatrice télé Mariam Coulibaly, le ministre du Tourisme et des loisirs, Siandou Fofana, la cheffe de de la diplomatie Kandia Camara, et le ministre de la Promotion des PME et de l’artisanat, Félix Anoblé, ont défilé sous des slaves d’applaudissements du public. 

Peu avant, l’artiste ivoirien Manadja, membre du Groupe Magic System, est apparu sur la scène, vêtu d’un complet pourpre, esquissant des pas tout le long du podium pour exhiber son apparat, somptueux et d’éclat. Il avait à ses côtés l’animatrice télé de Caroline DaSylva. 

Les mannequins ayant fait la parade d’ouverture de l’édition 2021 de Afrik fashion show, promue par l’Ivoirienne Isabelle Anoh, étaient habillés par le styliste de renom, Pathé’O, l’un des couturiers de feu Nelson Mandela.

Pathé’O a dit « merci aux ministres qui ont rehaussé cette cérémonie par leur présence », avant de lancer à l’endroit de l’assistance « portez (ce que le continent produit parce que)  l’Afrique doit se développer par les Africains ».

La 15e session de cette grande messe de la mode, dédiée à la « créativité et à l’élégance », a eu pour thème « Valorisation du Made in Côte d’Ivoire ». Cette thématique illustre le combat du label Made in Côte d’Ivoire de Mme Isabelle Anoh. 

Meeting de la créativité,  sur les bords de la lagune Ebrié,  Afrik fashion show, a pris le pari de réunir 15 stylistes ivoiriens représentant quatre générations de créateurs, qui ont exposé leur savoir-faire. 

L’une des innovations de cette édition, est la vente éphémère qui a débuté dans la matinée de samedi et qui a pris fin après le défilé qui a démontré la résilience des stylistes et des créateurs de modes, également impactés par les effets de la pandémie de Covid-19.

« Les marques ivoiriennes qui exposent nous confortent dans le choix de valoriser le label Made in Côte d’Ivoire », a déclaré Mme Isabelle Anoh, qui a salué les acteurs de l’écosystème, les mannequins, les fabriquants de textiles, ceux de de la coiffure et de la cosmétique.   

De Tendance Party à Afrik fashion show, Isabelle Anoh, en dépit des défis du parcours, a toujours su donner une impulsion à son rêve et à sa passion. Cela fait 15 ans que dure cette aventure qui se bonifie au fil des ans. 

Elle a annoncé que dès la 16e édition, Afrik fashion show se nommera désormais « Afrik fashion week » et s’étendra sur plusieurs jours avec un Comité scientifique, un Comité organisationnel et une participation plus accrue des acteurs de la mode.  

Plus d’un millier de personnes, ferrures de la mode et venus de divers horizons du continent, ont pris part à la 15e édition de Afrik fashion show, qui a dévoilé des marques telles « Missano » by I. Anoh ou encore Diamond couture.  

La 5e édition de la Journée nationale du partenariat s’ouvre lundi à Abidjan

La 5e édition de la Journée nationale du partenariat Etat/secteur privé (JNP) s’ouvre, lundi, à Abidjan pour débattre de « la vision 2030 du développement de la Côte d’Ivoire».

Cette cinquième  édition  vise à renforcer la vision partagée et complémentaire entre l’Etat et le secteur privé pour l’atteinte des objectifs de développement socio-économique de la Côte d’Ivoire à l’horizon 2030.

La  JNP se positionne comme le rendez-vous clé et le cadre d’échanges propices, entre autres, à la présentation des réformes et efforts consentis par l’Etat et à l’expression des attentes du secteur privé.

Après avoir enregistré 3 463 participants à la précédente édition de 2019, celle de 2021 sera organisée dans un format hybride avec 2 000 personnes en présentiel et 5 000 autres en ligne.

La première journée s’ouvrira avec la session régionale de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) dédiée au partage d’expériences sur le dialogue public/privé.

 S’en suivra, le premier atelier thématique sur «intégration économique africaine : quelles opportunités avec la ZLECAF (Zone de libre-échange continentale africaine) dans la vision 2030 ». 

Le second temps fort de cette première journée sera la cérémonie d’ouverture en début d’après-midi avec l’allocution du Premier ministre Patrick Achi, haut patron de cette journée et président du Conseil de Concertation qui viendra en réponse à celle du président de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI, patronat ivoirien), représentant le secteur privé.

Cette série de discours sera ouverte par le ministre de l’Economie et des finances, président du Comité Technique de Concertation et président de la JNP 2021. Les visites du site des B to G et de l’espace d’exposition, meubleront également cette première journée.

 Le volet  scientifique de la JNP 2021 s’ouvrira avec le premier panel autour du thème, «reprise économique post-covid : rôle de l’Etat et stratégie des entreprises ». 

La deuxième journée débutera avec l’organisation de trois ateliers thématiques qui se tiendront de façon parallèle sur les thèmes: « développement des pôles économiques régionaux compétitifs : enjeux et  défis », « PND (Plan national de développement)  2021-2025 : quelles opportunités pour le secteur productif ? » et «accès au financement des entreprises : activités des Fonds Covid et garantie des crédits  aux entreprises ».

Un panel de clôture sur le thème,  «vision Côte d’Ivoire 2030: contribution du partenariat Etat secteur privé », permettra au cabinet du premier ministre, d’approfondir la réflexion avec la participation du patronat ivoirien, de la Fédération ivoirienne des PME et  de la Banque mondiale.

La cérémonie de clôture, qui verra la remise des cinq différents prix du partenariat, ainsi que les prix spéciaux  aux acteurs de l’administration publique et du secteur privé viendra clore ces deux journées de réflexions.

La 5e édition de la Journée nationale du partenariat s’ouvre lundi à Abidjan

La 5e édition de la Journée nationale du partenariat Etat/secteur privé (JNP) s’ouvre, lundi, à Abidjan pour débattre de « la vision 2030 du développement de la Côte d’Ivoire».

Cette cinquième  édition  vise à renforcer la vision partagée et complémentaire entre l’Etat et le secteur privé pour l’atteinte des objectifs de développement socio-économique de la Côte d’Ivoire à l’horizon 2030.

La  JNP se positionne comme le rendez-vous clé et le cadre d’échanges propices, entre autres, à la présentation des réformes et efforts consentis par l’Etat et à l’expression des attentes du secteur privé.

Après avoir enregistré 3 463 participants à la précédente édition de 2019, celle de 2021 sera organisée dans un format hybride avec 2 000 personnes en présentiel et 5 000 autres en ligne.

La première journée s’ouvrira avec la session régionale de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) dédiée au partage d’expériences sur le dialogue public/privé.

 S’en suivra, le premier atelier thématique sur «intégration économique africaine : quelles opportunités avec la ZLECAF (Zone de libre-échange continentale africaine) dans la vision 2030 ». 

Le second temps fort de cette première journée sera la cérémonie d’ouverture en début d’après-midi avec l’allocution du Premier ministre Patrick Achi, haut patron de cette journée et président du Conseil de Concertation qui viendra en réponse à celle du président de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI, patronat ivoirien), représentant le secteur privé.

Cette série de discours sera ouverte par le ministre de l’Economie et des finances, président du Comité Technique de Concertation et président de la JNP 2021. Les visites du site des B to G et de l’espace d’exposition, meubleront également cette première journée.

 Le volet  scientifique de la JNP 2021 s’ouvrira avec le premier panel autour du thème, «reprise économique post-covid : rôle de l’Etat et stratégie des entreprises ». 

La deuxième journée débutera avec l’organisation de trois ateliers thématiques qui se tiendront de façon parallèle sur les thèmes: « développement des pôles économiques régionaux compétitifs : enjeux et  défis », « PND (Plan national de développement)  2021-2025 : quelles opportunités pour le secteur productif ? » et «accès au financement des entreprises : activités des Fonds Covid et garantie des crédits  aux entreprises ».

Un panel de clôture sur le thème,  «vision Côte d’Ivoire 2030: contribution du partenariat Etat secteur privé », permettra au cabinet du premier ministre, d’approfondir la réflexion avec la participation du patronat ivoirien, de la Fédération ivoirienne des PME et  de la Banque mondiale.

La cérémonie de clôture, qui verra la remise des cinq différents prix du partenariat, ainsi que les prix spéciaux  aux acteurs de l’administration publique et du secteur privé viendra clore ces deux journées de réflexions.

Abidjan accueille le 3e sommet de AfricTivistes

Le 3e sommet de AfricTivistes s’ouvre le jeudi prochain à Abidjan autour du thème « promouvoir le développement et la gouvernance démocratique de l’internet en Afrique ».

Cette édition permettra de mettre en avant la maturité des écosystèmes africains et d’encourager la réflexion pour imaginer les scénarios des futurs possibles et des nouvelles perspectives africaines de la société de l’information et du cyberespace.

Ce sera aussi l’occasion de réfléchir sur les différentes questions liées aux mécanismes systémiques et institutionnels de gouvernance d’internet pour un écosystème plus juste et plus respectueux des droits humains, souligne l’organisation dans un communiqué transmis à APA, dimanche.

« Ce sommet d’Abidjan, marque une réelle volonté d’intégration africaine, de consolidation des différentes initiatives pour un internet plus neutre et accessible et de mutualisation des compétences à l’échelle du continent et auprès des citoyens actifs que nous composons », ajoute l’organisation précisant que les travaux se dérouleront les 11, 12 et 13 novembre.

Au-delà de la mise en réseau d’acteurs de changement et de la promotion de la démocratie participative, les Sommets AfricTivistes symbolisent aussi une activité au titre d’un événement d’une ‘’Union Africaine” des peuples.

Ce rendez-vous continental se déroulera sur trois jours et réunira 70 personnes dont 20 locaux. Ces activistes du web, acteurs du changement, membres de mouvements sociaux, chercheurs et innovateurs, partenaires, blogueurs, journalistes et netizens du continent vont se pencher sur plusieurs  thématiques.

Il s’agit notamment :  Compétences numériques et communautés en ligne; Gouvernements: goulot d’étranglement pour le développement de l’Internet en Afrique ?; Perturbations à l’engagement civique en raison du manque d’accès à internet; Gouvernance de l’Internet en Afrique : quels rôles pour  la société civile; Utiliser les réseaux d’organisations de la société civile pour promouvoir la démocratie en Afrique.

Cet évènement est organisé chaque deux ans en vue de discuter des enjeux du continent en relation avec la démocratie et la bonne gouvernance ainsi que la place et l’impact du numérique dans les processus démocratiques, la gouvernance et la conscience citoyenne.

AfricTivistes est une organisation panafricaine basée à Dakar. AfricTivistes fédère les blogueurs et web-activistes du continent pour promouvoir et défendre les valeurs démocratiques, les droits humains et la bonne gouvernance à travers le numérique.

Lancée en novembre 2015, AfricTivistes est une sentinelle de la démocratie dans tous les pays africains. A ce titre, la ligue est résolue à intervenir directement ou à faire des plaidoyers pour faire intervenir des acteurs dans les différents processus de changement politique et social.

 Elle mène et pilote des projets de développement et d’implication citoyenne dans les dispositifs démocratiques.

Abidjan accueille le 3e sommet de AfricTivistes

Le 3e sommet de AfricTivistes s’ouvre le jeudi prochain à Abidjan autour du thème « promouvoir le développement et la gouvernance démocratique de l’internet en Afrique ».

Cette édition permettra de mettre en avant la maturité des écosystèmes africains et d’encourager la réflexion pour imaginer les scénarios des futurs possibles et des nouvelles perspectives africaines de la société de l’information et du cyberespace.

Ce sera aussi l’occasion de réfléchir sur les différentes questions liées aux mécanismes systémiques et institutionnels de gouvernance d’internet pour un écosystème plus juste et plus respectueux des droits humains, souligne l’organisation dans un communiqué transmis à APA, dimanche.

« Ce sommet d’Abidjan, marque une réelle volonté d’intégration africaine, de consolidation des différentes initiatives pour un internet plus neutre et accessible et de mutualisation des compétences à l’échelle du continent et auprès des citoyens actifs que nous composons », ajoute l’organisation précisant que les travaux se dérouleront les 11, 12 et 13 novembre.

Au-delà de la mise en réseau d’acteurs de changement et de la promotion de la démocratie participative, les Sommets AfricTivistes symbolisent aussi une activité au titre d’un événement d’une ‘’Union Africaine” des peuples.

Ce rendez-vous continental se déroulera sur trois jours et réunira 70 personnes dont 20 locaux. Ces activistes du web, acteurs du changement, membres de mouvements sociaux, chercheurs et innovateurs, partenaires, blogueurs, journalistes et netizens du continent vont se pencher sur plusieurs  thématiques.

Il s’agit notamment :  Compétences numériques et communautés en ligne; Gouvernements: goulot d’étranglement pour le développement de l’Internet en Afrique ?; Perturbations à l’engagement civique en raison du manque d’accès à internet; Gouvernance de l’Internet en Afrique : quels rôles pour  la société civile; Utiliser les réseaux d’organisations de la société civile pour promouvoir la démocratie en Afrique.

Cet évènement est organisé chaque deux ans en vue de discuter des enjeux du continent en relation avec la démocratie et la bonne gouvernance ainsi que la place et l’impact du numérique dans les processus démocratiques, la gouvernance et la conscience citoyenne.

AfricTivistes est une organisation panafricaine basée à Dakar. AfricTivistes fédère les blogueurs et web-activistes du continent pour promouvoir et défendre les valeurs démocratiques, les droits humains et la bonne gouvernance à travers le numérique.

Lancée en novembre 2015, AfricTivistes est une sentinelle de la démocratie dans tous les pays africains. A ce titre, la ligue est résolue à intervenir directement ou à faire des plaidoyers pour faire intervenir des acteurs dans les différents processus de changement politique et social.

 Elle mène et pilote des projets de développement et d’implication citoyenne dans les dispositifs démocratiques.

Côte d’Ivoire: 28 athlètes décrochent l’or au championnat des arts martiaux chinois

Vingt-huit athlètes ont décroché la médaille d’or à l’occasion du championnat national des arts martiaux chinois de Côte d’Ivoire, tenu les 30 et 31 octobre 2021, à Kani, dans le Nord ivoirien.

Ce championnat national en Traolou (technique ou kata) et Sanda (combats), sénior et junior, délocalisé à Kani, ville située à 563 Km au Nord d’Abidjan, a été organisé par la Fédération ivoirienne des arts martiaux chinois (FIAMC). 

L’événement a été marqué par des démonstrations et des compétitions. Le président de la FIAMC, Maître Méïté Siaka, a souligné que cette discipline, outre la défense, procure la santé physique, morale et inculque des valeurs. 

Depuis 12 ans qu’il dirige cette fédération, fera-t-il observer, l’organisation a glané environ 99 médailles à son actif et 70% étant des médailles d’or. Cette session a enregistré le champion d’Afrique poids lourd dans la série des combats. 

Le champion d’Afrique en tao  (technique) était également de cette partie qui s’est déroulée dans la rubrique à main nue, la rubrique à armes courtes, à arme longue et le taiji chan, les compétiteurs ayant la possibilité de faire les formes souples. 

Le député de Kani commune et sous-préfecture, Ben Méïté, s’est réjoui de ce que l’édition 2021 de ce championnat national se tienne, dans sa circonscription, la preuve que « ce qui se fait à Abidjan peut aussi se faire à Kani ».

Pour lui, les arts martiaux chinois permettent de se défendre, mais constituent aussi « un véhicule de valeurs et d’humilité » nécessaires aux Ivoiriens, notamment les jeunes en vue de la construction d’un Etat « solidaire ». 

Voici la liste des lauréats 

RÉSULTATS SANDA

SENIOR HOMMES (SANDA)

– catégorie 52 Kg (Sanda)

1er, Jean Baptiste Assamoi, médaille d’or 

2e, Cissé Yacouba, médaille d’argent 

3e, Kalifa Koné, médaille de bronze

3e ex, Komité Kolié, médaille de bronze 

-catégorie 56 Kg Hommes (Sanda)

1er, Jonathan Koffi Kouakou, médaille d’or

2e, Akissi Séka, médaille d’argent 

3e, Marcelin Kouamé Kouassi, médaille de bronze 

-catégorie 60 Kg Hommes (Sanda) 

1er, Hervé Kouamé Kouadio, médaille d’or 

2e, Diby Alloh, médaille d’argent 

3e, Ousmane Doumbia, médaille de bronze 

3e ex, Arouna Belem, médaille de bronze 

-catégorie 65 Kg Hommes (Sanda)

1er, Hamed Kallo, médaille d’

2e, Dramane Coulibaly Adjai, médaille d’argent 

3e, Soro Zié,  médaille de bronze 

3e ex, Amara Kamagaté, médaille de bronze 

-catégorie 70 Kg Hommes (Sanda)

1er, Mensa Aka Miezan, médaille d’or 

2e, Koné Cheick, médaille d’argent 

3e, Sy Abdul Aziz, médaille de bronze 

3e ex, Cissé Abdoulaye, médaille de bronze

-catégorie 75 Kg Hommes  (Sanda)

1er, Moussa Touré, médaille d’or 

2e, Traoré Ibrahim, médaille d’argent 

3e, Bakayoko Lacina, bronze

3e ex, Traoré Soumaila, bronze 

-catégorie 80 Kg Hommes  (Sanda)

1er, Lath Wilfried, médaille or

2e, Tra Bi Botty Rodrigue, médaille d’argent 

3e, Koné Zié, médaille de bronze 

-catégorie 85 Kg Hommes  (Sanda)

1er, Douma Serge Pacome, médaille d’or

2e, Bakaré Akim, médaille de bronze 

-catégorie 90 Kg Hommes  (Sanda)

1er, Kouyaté Mory, médaille d’or

2e, Ouoba Ibrahim, médaille d’argent 

3e, Issouf Idrissa, médaille de bronze 

-catégorie 90 Kg Hommes 

1er, Koffi Bhaly Ricardo, médaille d’or 

2e, Yedoh Meledje François 

JUNIOR HOMMES (SANDA)

-catégorie 56 Kg Hommes 

1er, Houphouët Kouassi, médaille d’or 

2e, Ballet Forest Elisée, médaille d’argent 

-catégorie 60 Kg Hommes 

1er, Kallo Oumarou, médaille d’or 

2e, Aurel Atchoum Marc, médaille d’argent 

3e, Ouedraogo Abdul Fatao, médaille de bronze 

3e ex, Nguessan Kouakou Guy Mathieu,  médaille de bronze 

-catégorie 75 Kg Hommes 

1er, Coulibaly Abou, médaille d’or 

2e, Konan Allou Zilé, médaille d’argent

3e, Nguessan Kouakou Ezechiel, médaille de bronze 

JUNIOR FEMMES (SANDA)

-catégorie 52 Kg et 52 Kg hors rang

1er, Ory Doriane, médaille d’or 

2e, Yeo Henriette, médaille d’argent 

3e, Silué Grâce, médaille de bronze 

3e ex, Lady Awa Honorine, médaille de bronze 

-catégorie 65 Kg Femmes 

1er, Haba Jeanne, médaille d’or

2e, Lokoubi Zémini, médaille d’argent 

3e, Kanté Radia, médaille de bronze 

3e ex, Coulibaly Maimouna, médaille de bronze 

-catégorie 80 Kg Femmes 

1er, Meité Nowata, médaille d’or 

2e, Kanga Amenan, médaille d’argent 

RESULTATS TRAOLOU

SENIOR HOMMES (Traolou)

-catégorie mains nues

1er, Soro Guy Roland, médaille d’or 

2e, Yama Aké Mobio Alex, médaille d’argent 

3e, M’Bolo Gaël,  médaille de bronze 

-catégorie Tadji Chuan mains nues

1er, Lella Marc Aurel, médaille d’or 

2e, Sawadogo Paul, médaille d’argent 

3e, Yeo Chigata, médaille de bronze 

-catégorie traditionnel mains nues

1er, Bamba Beh Moussa, médaille d’or 

2e, Coulibaly Tiémokodjan, médaille d’argent 

3e, Okou  Assenan, médaille de bronze 

-catégorie armes courtes

1er, Kouabenan Beranger, médaille d’or 

2e, Soro Guy Roland, médaille d’argent 

3e, Yama Aké Mobio, médaille de bronze 

-catégorie Taji chuan à armee

1e, Lella Marc Aurel, médaille d’or 

2e, Soro Alama, médaille d’argent 

3e, Yeo Chigata, médaille de bronze 

-catégorie traditionnel à armes 

1er, Lella Marc Aurel, médaille d’or 

2e, Barry Abdou Salam, médaille d’argent 

-catégorie armes longues

1er, Yama Aké Mobio, médaille d’or 

2e, Soro Guy Roland, médaille d’argent 

3e, Kouabenan Beranger, médaille de bronze 

JUNIOR HOMMES  (Traolou)

-catégorie mains nues

1er, Kesse Douad, médaille d’or 

2e, Brenoum Kouadio Henoc, médaille d’argent 

3e, Kouakou Ndri Yvann, médaille de bronze 

-catégorie armes courtes 

1er, Kesse Douad, médaille d’or

2e, Bamba Ben Mohamed, médaille de bronze 

3e, Kouakou Ndri Yvann, médaille de bronze 

-catégorie armes longues

1er, Kesse Douad, médaille d’or 

2e, Kouakou Ndri Yvann, médaille d’argent 

3e, Brenoum Kouadio Henoc, médaille de bronze 

JUNIOR FEMMES  (Traolou)

-catégorie mains nues 

1er,  Ehoussou Annick, médaille d’or 

2e, Tiemoko Carmelle, médaille d’argent 

3e, Bakayoko Aminata, médaille de bronze 

-catégorie armes 

1er, Bakayoko Aminata, médaille d’or

2e,  Tiémoko Carmelle, médaille d’argent 

3e, Ehoussou Annick, médaille de bronze 

Côte d’Ivoire: 28 athlètes décrochent l’or au championnat des arts martiaux chinois

Vingt-huit athlètes ont décroché la médaille d’or à l’occasion du championnat national des arts martiaux chinois de Côte d’Ivoire, tenu les 30 et 31 octobre 2021, à Kani, dans le Nord ivoirien.

Ce championnat national en Traolou (technique ou kata) et Sanda (combats), sénior et junior, délocalisé à Kani, ville située à 563 Km au Nord d’Abidjan, a été organisé par la Fédération ivoirienne des arts martiaux chinois (FIAMC). 

L’événement a été marqué par des démonstrations et des compétitions. Le président de la FIAMC, Maître Méïté Siaka, a souligné que cette discipline, outre la défense, procure la santé physique, morale et inculque des valeurs. 

Depuis 12 ans qu’il dirige cette fédération, fera-t-il observer, l’organisation a glané environ 99 médailles à son actif et 70% étant des médailles d’or. Cette session a enregistré le champion d’Afrique poids lourd dans la série des combats. 

Le champion d’Afrique en tao  (technique) était également de cette partie qui s’est déroulée dans la rubrique à main nue, la rubrique à armes courtes, à arme longue et le taiji chan, les compétiteurs ayant la possibilité de faire les formes souples. 

Le député de Kani commune et sous-préfecture, Ben Méïté, s’est réjoui de ce que l’édition 2021 de ce championnat national se tienne, dans sa circonscription, la preuve que « ce qui se fait à Abidjan peut aussi se faire à Kani ».

Pour lui, les arts martiaux chinois permettent de se défendre, mais constituent aussi « un véhicule de valeurs et d’humilité » nécessaires aux Ivoiriens, notamment les jeunes en vue de la construction d’un Etat « solidaire ». 

Voici la liste des lauréats 

RÉSULTATS SANDA

SENIOR HOMMES (SANDA)

– catégorie 52 Kg (Sanda)

1er, Jean Baptiste Assamoi, médaille d’or 

2e, Cissé Yacouba, médaille d’argent 

3e, Kalifa Koné, médaille de bronze

3e ex, Komité Kolié, médaille de bronze 

-catégorie 56 Kg Hommes (Sanda)

1er, Jonathan Koffi Kouakou, médaille d’or

2e, Akissi Séka, médaille d’argent 

3e, Marcelin Kouamé Kouassi, médaille de bronze 

-catégorie 60 Kg Hommes (Sanda) 

1er, Hervé Kouamé Kouadio, médaille d’or 

2e, Diby Alloh, médaille d’argent 

3e, Ousmane Doumbia, médaille de bronze 

3e ex, Arouna Belem, médaille de bronze 

-catégorie 65 Kg Hommes (Sanda)

1er, Hamed Kallo, médaille d’

2e, Dramane Coulibaly Adjai, médaille d’argent 

3e, Soro Zié,  médaille de bronze 

3e ex, Amara Kamagaté, médaille de bronze 

-catégorie 70 Kg Hommes (Sanda)

1er, Mensa Aka Miezan, médaille d’or 

2e, Koné Cheick, médaille d’argent 

3e, Sy Abdul Aziz, médaille de bronze 

3e ex, Cissé Abdoulaye, médaille de bronze

-catégorie 75 Kg Hommes  (Sanda)

1er, Moussa Touré, médaille d’or 

2e, Traoré Ibrahim, médaille d’argent 

3e, Bakayoko Lacina, bronze

3e ex, Traoré Soumaila, bronze 

-catégorie 80 Kg Hommes  (Sanda)

1er, Lath Wilfried, médaille or

2e, Tra Bi Botty Rodrigue, médaille d’argent 

3e, Koné Zié, médaille de bronze 

-catégorie 85 Kg Hommes  (Sanda)

1er, Douma Serge Pacome, médaille d’or

2e, Bakaré Akim, médaille de bronze 

-catégorie 90 Kg Hommes  (Sanda)

1er, Kouyaté Mory, médaille d’or

2e, Ouoba Ibrahim, médaille d’argent 

3e, Issouf Idrissa, médaille de bronze 

-catégorie 90 Kg Hommes 

1er, Koffi Bhaly Ricardo, médaille d’or 

2e, Yedoh Meledje François 

JUNIOR HOMMES (SANDA)

-catégorie 56 Kg Hommes 

1er, Houphouët Kouassi, médaille d’or 

2e, Ballet Forest Elisée, médaille d’argent 

-catégorie 60 Kg Hommes 

1er, Kallo Oumarou, médaille d’or 

2e, Aurel Atchoum Marc, médaille d’argent 

3e, Ouedraogo Abdul Fatao, médaille de bronze 

3e ex, Nguessan Kouakou Guy Mathieu,  médaille de bronze 

-catégorie 75 Kg Hommes 

1er, Coulibaly Abou, médaille d’or 

2e, Konan Allou Zilé, médaille d’argent

3e, Nguessan Kouakou Ezechiel, médaille de bronze 

JUNIOR FEMMES (SANDA)

-catégorie 52 Kg et 52 Kg hors rang

1er, Ory Doriane, médaille d’or 

2e, Yeo Henriette, médaille d’argent 

3e, Silué Grâce, médaille de bronze 

3e ex, Lady Awa Honorine, médaille de bronze 

-catégorie 65 Kg Femmes 

1er, Haba Jeanne, médaille d’or

2e, Lokoubi Zémini, médaille d’argent 

3e, Kanté Radia, médaille de bronze 

3e ex, Coulibaly Maimouna, médaille de bronze 

-catégorie 80 Kg Femmes 

1er, Meité Nowata, médaille d’or 

2e, Kanga Amenan, médaille d’argent 

RESULTATS TRAOLOU

SENIOR HOMMES (Traolou)

-catégorie mains nues

1er, Soro Guy Roland, médaille d’or 

2e, Yama Aké Mobio Alex, médaille d’argent 

3e, M’Bolo Gaël,  médaille de bronze 

-catégorie Tadji Chuan mains nues

1er, Lella Marc Aurel, médaille d’or 

2e, Sawadogo Paul, médaille d’argent 

3e, Yeo Chigata, médaille de bronze 

-catégorie traditionnel mains nues

1er, Bamba Beh Moussa, médaille d’or 

2e, Coulibaly Tiémokodjan, médaille d’argent 

3e, Okou  Assenan, médaille de bronze 

-catégorie armes courtes

1er, Kouabenan Beranger, médaille d’or 

2e, Soro Guy Roland, médaille d’argent 

3e, Yama Aké Mobio, médaille de bronze 

-catégorie Taji chuan à armee

1e, Lella Marc Aurel, médaille d’or 

2e, Soro Alama, médaille d’argent 

3e, Yeo Chigata, médaille de bronze 

-catégorie traditionnel à armes 

1er, Lella Marc Aurel, médaille d’or 

2e, Barry Abdou Salam, médaille d’argent 

-catégorie armes longues

1er, Yama Aké Mobio, médaille d’or 

2e, Soro Guy Roland, médaille d’argent 

3e, Kouabenan Beranger, médaille de bronze 

JUNIOR HOMMES  (Traolou)

-catégorie mains nues

1er, Kesse Douad, médaille d’or 

2e, Brenoum Kouadio Henoc, médaille d’argent 

3e, Kouakou Ndri Yvann, médaille de bronze 

-catégorie armes courtes 

1er, Kesse Douad, médaille d’or

2e, Bamba Ben Mohamed, médaille de bronze 

3e, Kouakou Ndri Yvann, médaille de bronze 

-catégorie armes longues

1er, Kesse Douad, médaille d’or 

2e, Kouakou Ndri Yvann, médaille d’argent 

3e, Brenoum Kouadio Henoc, médaille de bronze 

JUNIOR FEMMES  (Traolou)

-catégorie mains nues 

1er,  Ehoussou Annick, médaille d’or 

2e, Tiemoko Carmelle, médaille d’argent 

3e, Bakayoko Aminata, médaille de bronze 

-catégorie armes 

1er, Bakayoko Aminata, médaille d’or

2e,  Tiémoko Carmelle, médaille d’argent 

3e, Ehoussou Annick, médaille de bronze 

Abidjan et Abuja signent 9 accords bilatéraux et économiques

La Côte d’Ivoire et la République fédérale du Nigéria ont signé samedi à Abidjan neuf accords bilatéraux et économiques dont un protocole en matière de coopération militaire.

Ces accords ont été signés à la clôture de la 2e Grande commission mixte de coopération ivoiro-nigériane, tenue à Abidjan du 4 au 6 novembre 2021, en présence du Premier ministre ivoirien Patrick Achi et du vice-président du Nigéria, Yemi Osinbajo.

Les différents protocoles ont été paraphés, pour la partie nigériane par M. Yemi Osinbajo, tandis que le Premier ministre ivoirien, représentait l’Etat de Côte d’Ivoire. Ces neuf accords de coopération viennent renforcer les relations entre ces deux pays ouest-africains.

Les deux parties ont signé un protocole d’accord en matière de coopération militaire, en matière de protection civile et d’assistance technique, et un autre sur la coopération dans la lutte contre la production, la fabrication et le trafic illicite de stupéfiants et de substances psychotropes.

Elles ont en outre signé un mémorandum d’entente dans le domaine des sports, et un autre sur la coopération culturelle, puis une lettre d’intention entre la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (Cgeci, Patronat ivoirien) et l’Association des manufacturiés du Nigéria.

Le vice-président du Nigéria, Yemi Osinbajo, qui conduisait une importante délégation, s’est dit « très heureux » de ces accords qui ont été signés et qui renforcent surtout les relations entre les secteurs privés des deux pays.

Pour sa part, M. Patrick Achi a salué le leadership affirmé de M. Osinbajo et ses orientations constructives qui ont permis d’adopter des recommandations pertinentes devant aider leurs deux pays à réactiver de manière consensuelle les leviers d’une coopération bilatérale. 

« Il nous faudra dans les mois à venir procéder à la signature de nouveaux accords qui élargissent davantage le champ de notre coopération et prennent en compte les besoins réels de nos peuples », a dit M. Patrick Achi.

Face à la montée en puissance du terrorisme dans la sous-région, qui exige plus que jamais une réponse ferme et concertée des pays, M. Patrick Achi a appelé à une coopération militaire plus accrue. 

« C’est pourquoi nous accueillons favorablement les négociations en cours en vue de la signature de bien d’autels accords qui permettront de renforcer davantage la sécurité au sein de notre espace communautaire », a-t-il ajouté.

Le chef de la diplomatie ivoirienne, Kandia Camara, a fait savoir que 20 projets d’accords sont en cours de négociations, déclarant que les investisseurs ivoiriens ne bénéficient pas de facilités au Nigéria du fait de la législation, notamment les restrictions liées aux transferts financiers. 

La République fédérale du Nigéria est le premier partenaire économique de la Côte d’Ivoire sur le continent africain. Les échanges commerciaux entre les deux pays s’élèvent à 860,874 milliards Fcfa en 2020, soit plus de 1,5 milliard de dollars US. 

Le 1er août 2013, a eu lieu la première session de la Grande Commission mixte ivoiro-nigériane à Abuja. Les deux États ont convenu de la réactivation et de l’accélération du projet de l’autoroute -Abidjan-Lagos. 

La troisième session est prévue au Nigéria. Les deux pays ont au terme de la rencontre de haut niveau réaffirmé leurs engagements à œuvrer à la consolidation des acquis et au renforcement des liens d’amitié et de coopération.

Abidjan et Abuja signent 9 accords bilatéraux et économiques

La Côte d’Ivoire et la République fédérale du Nigéria ont signé samedi à Abidjan neuf accords bilatéraux et économiques dont un protocole en matière de coopération militaire.

Ces accords ont été signés à la clôture de la 2e Grande commission mixte de coopération ivoiro-nigériane, tenue à Abidjan du 4 au 6 novembre 2021, en présence du Premier ministre ivoirien Patrick Achi et du vice-président du Nigéria, Yemi Osinbajo.

Les différents protocoles ont été paraphés, pour la partie nigériane par M. Yemi Osinbajo, tandis que le Premier ministre ivoirien, représentait l’Etat de Côte d’Ivoire. Ces neuf accords de coopération viennent renforcer les relations entre ces deux pays ouest-africains.

Les deux parties ont signé un protocole d’accord en matière de coopération militaire, en matière de protection civile et d’assistance technique, et un autre sur la coopération dans la lutte contre la production, la fabrication et le trafic illicite de stupéfiants et de substances psychotropes.

Elles ont en outre signé un mémorandum d’entente dans le domaine des sports, et un autre sur la coopération culturelle, puis une lettre d’intention entre la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (Cgeci, Patronat ivoirien) et l’Association des manufacturiés du Nigéria.

Le vice-président du Nigéria, Yemi Osinbajo, qui conduisait une importante délégation, s’est dit « très heureux » de ces accords qui ont été signés et qui renforcent surtout les relations entre les secteurs privés des deux pays.

Pour sa part, M. Patrick Achi a salué le leadership affirmé de M. Osinbajo et ses orientations constructives qui ont permis d’adopter des recommandations pertinentes devant aider leurs deux pays à réactiver de manière consensuelle les leviers d’une coopération bilatérale. 

« Il nous faudra dans les mois à venir procéder à la signature de nouveaux accords qui élargissent davantage le champ de notre coopération et prennent en compte les besoins réels de nos peuples », a dit M. Patrick Achi.

Face à la montée en puissance du terrorisme dans la sous-région, qui exige plus que jamais une réponse ferme et concertée des pays, M. Patrick Achi a appelé à une coopération militaire plus accrue. 

« C’est pourquoi nous accueillons favorablement les négociations en cours en vue de la signature de bien d’autels accords qui permettront de renforcer davantage la sécurité au sein de notre espace communautaire », a-t-il ajouté.

Le chef de la diplomatie ivoirienne, Kandia Camara, a fait savoir que 20 projets d’accords sont en cours de négociations, déclarant que les investisseurs ivoiriens ne bénéficient pas de facilités au Nigéria du fait de la législation, notamment les restrictions liées aux transferts financiers. 

La République fédérale du Nigéria est le premier partenaire économique de la Côte d’Ivoire sur le continent africain. Les échanges commerciaux entre les deux pays s’élèvent à 860,874 milliards Fcfa en 2020, soit plus de 1,5 milliard de dollars US. 

Le 1er août 2013, a eu lieu la première session de la Grande Commission mixte ivoiro-nigériane à Abuja. Les deux États ont convenu de la réactivation et de l’accélération du projet de l’autoroute -Abidjan-Lagos. 

La troisième session est prévue au Nigéria. Les deux pays ont au terme de la rencontre de haut niveau réaffirmé leurs engagements à œuvrer à la consolidation des acquis et au renforcement des liens d’amitié et de coopération.