Tournoi corporatif des médias guinéens : coup d’envoi ce mercredi

Le tournoi corporatif des médias guinéens démarre ce mercredi, 05 décembre, au stade de proximité de Nongo, à Conakry.

16 équipes, issues des médias de Conakry et une venue de Fria (VDF), prennent part à cette 3ième édition du tournoi corporatif des médias guinéens.  Cette édition rend hommage à feu Abdoulaye Bah. Ces équipes s’affronteront en confrontations à éliminations directes, à toutes les phases de la compétition. La cérémonie d’ouverture placée, sous le haut patronage du premier ministre, Chef du gouvernement, Dr Ibrahima Kassory Fofana, mobilisera entre autres, des membres du gouvernement, des représentants d’institutions républicaines, des hauts cadres de l’administration, des acteurs politiques et de la société civile. Au programme, animations, prestations artistiques, et un match en levée de rideaux, qui opposera Orange Guinée à une équipe de Wassolon Agency Communication. Comme toujours, ce tournoi annuel de la presse guinéenne, est doté du trophée Antonio Souaré, PDG de SAMGBM, président de la FEGUIFOOT.

Polémique autour de la mairie de Kindia Abdoulaye Bah brise le silence: « Je vais parfaitement bien et je suis détermine à faire la politique »

Au lendemain de la signature de l’accord politique du 08 aout dernier entre le RPG arc en ciel parti au pouvoir et l’UFDG principal parti de l’opposition guinéenne, des voix s’élèvent contre la décision de l’accord politique à laisser l’UFDG dirigé la  mairie de Kindia. Le Kountigui de la basse côte, l’imam de la grande mosquée de Kindia, ont affirmé ouvertement leur opposition en la personne de Abdoulaye Bah candidat sous la bannière de l’UFDG. Ces derniers ont demandé à l’union des forces démocratiques de Guinée de changer de tête de liste à Kindia.

Vendredi matin, le concerné a brisé le silence. Le futur maire de Kindia, affirme que ces polémiques ne lui font ni chaud ni froid.

«  Je vais parfaitement bien. Je suis à l’aise dans la mesure où je ne me sens pas responsable d’aucune infraction relative à nos lois nationales. La seule chose qui me gêne c’est que nous élites montantes, nous devrions plutôt faire objet de conseils allant dans le sens d’unir les Guinéens pour que nous puissions être à la hauteur pour compatir vis à vis de nos frères du Maroc, de la Côte D’ivoire et de la sous-région parce qu’on est dans un monde extrêmement compétitif et ce sont les enfants qui doivent rendre honneur et hommage à la nation. Autrement je suis ragaillardi et de plus en plus déterminé à faire de la politique dans le cadre de mon parti pour la Guinée et pour la région de Kindia », a-t-il affirmé.

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S’exprimant sur les affirmations des uns et des autres, le fédéral UFDG de Kindia s’est dit surpris de la tournure brutale que les choses ont pris.

« Nous sommes en politique moi j’avais l’espoir et je pensais que mon parti avait à faire à d’autres partis à Kindia pour la conquête de la mairie dans le cadre d’un régime démocratique qui met l’accent sur le vote populaire en vue de choisir l’élite gouvernante dans chaque localité en Guinée. J’ignorais que nous avions à faire à une association ayant un objet social ou culturel à Kindia. Nous avons fait la campagne sur la base d’un projet de société portant sur 60 pages, nous avons expliqué ce que nous voulons pour notre ville et nous avons été plébiscites et nous avons gagné et cela a été acté, confirmé par un accord politique que j’appelle « accord pour la paix ». Nous avons été surpris de voir notre cher imam prendre position face à une situation naturellement politique. Moi je suis enseignant et je ne suis pas habilité à dire quoi que ce soit qui pouvait offenser quiconque. Je suis doté d’un vocabulaire dû à mon éducation et à ma formation académique pour pouvoir exprimer une pensée en verbe. Je n’ai insulté personne, je n’ai accusé personne et je ne comprends pas que l’on puisse s’en prendre à moi alors que la campagne est fini, alors que le maire est élu, alors que c’est l’UFDG qui a gagné ».

Selon l’article 1 de la constitution, la Guinée est un Etat unitaire, social, démocratique et laïque.  Cet article est fondamental pour dire que c’est une l’institution scientifique qui est l’Etat qui doit gérer les contradictions entre les citoyens de l’Etat guinéen.

Sur les attaques et les qualifications ethniques et régionales, Abdoulaye Bah rappelle que la campagne électorale est terminée. « Alors s’ils estiment qu’après élection, après choix du maire, que moi je suis responsable d’une faille, la justice existe pour pouvoir recevoir toute accusation concernant un citoyen guinéen. S’ils estiment après choix du maire, après élections qu’ils ont des choses qui se sont dites et que moi je suis responsable, la justice est là pour ça ».

Tout de même Abdoulaye Bah promet d’être maire pour tous les Kindiakas, pour lui, l’heure est au développement, à la propriété des villes et a la création des emplois pour les jeunes de Kindia.

Cellou Dalein Diallo : «pas question de remplacer Abdoulaye Bah à la tête de la mairie de Kindia»

Depuis la signature de l’accord politique du 08 août dernier permettant à l’UFDG de diriger la mairie de Kindia,  des voix, notamment celles des militants du RPG arc en ciel à Kindia, du député uninominal de Kindia, du 1er imam et le Kountigui de la basse côte, se lèvent pour récuser ce choix de l’Union des forces démocratiques de Guinée. Ces derniers disent ne pas vouloir être dirigé par Abdoulaye Bah candidat UFDG malgré son élection.

En marge d’une plénière ce mercredi soir,  le président de l’UFDG s’est prononcé sur ce cas. Pour lui,  il n’est pas question de remplacer Abdoulaye Bah à la tête de la mairie de Kindia.

« Abdoulaye bah a été élu. Le RPG et le gouvernement l’ont reconnu. Nous n’avons pas un autre que lui. La population de Kindia dans sa grande majorité a voté pour la liste conduite par Abdoulaye Bah qui a fait ses preuves dans la gestion de la cité des agrumes, puisque depuis 2015, il est président de la délégation spéciale de Kindia», a-t-il dit

« Il n’est pas question, et ce n’est pas négociable pour l’UFDG, de revenir sur ça étant donné que les citoyens de Kindia ont choisi Abdoulaye Bah. Sauf si on nous dit que ce sont les inspecteurs de la ligue islamique ou les députés uninominaux qui choisissent les maires », a dit Cellou Dalein Diallo président de l’UFDG dans un ton ferme.

Dabola : Abdoulaye Bah inhumé à Dinguiraye,  sa ville natale

C’est à 14 heures 30, du jeudi 21 juin 2018, après le symposium organisé par le gouvernement guinéen, que le corps d’Abdoulaye Bah a quitté Conakry pour son Dinguiraye natal où  il est arrivé à 2 heures en compagnie de sa famille biologique et professionnelle.

A 8 heures, la cérémonie funèbre a débuté par la lecture du saint Coran. Le moment a été pour les sages et amis(es) de bénir Abdoulaye pour son repos éternel.

Comme on aime à le dire,  la nature a horreur du vide, alors Abdoulaye Bah a laissé un grand vide au sein de sa famille biologique  et professionnelle.

Après la lecture du saint coran, une foule compacte  a pris d’assaut la mosquée  historique de Cheik El-hadj Oumar Tall de Dinguiraye d’où naquis il y a de cela 41 années, le désormais ancien chef de bureau adjoint de Guineenews, pour la prière du Vendredi suivi de la prière funèbre de notre confrère Abdoulaye Bah.

Après seulement  une année et demi de mariage, l’épouse  d’Abdoulaye Bah dit avoir eu le meilleur mari au monde: « Dès qu’on m’a annoncé sa mort,  j’ai dit Abdoulaye tu m’as trahi non pas parce que tu n’étais pas fidèle en moi, mais parce que tu m’as laissée seule et aller pour toujours. On était censé être ensemble durant des années, avoir des enfants et petits-enfants mais malheureusement Dieu en a voulu autrement je m’en remets à la volonté de Dieu… je retiens de lui un homme bon, exemplaire, un ami et confident,  le meilleur mari au monde… ».

Les  ministre des Transports, Ibrahima Kourouma, de la Ville et de l’Habitat, Gassama Diaby de l’Unité Nationale et de la Citoyenneté et le Directeur général de la Caisse Nationale de  Sécurité Sociale, Malick Sankhon, Hadja Halimatou Dalein Diallo, épouse du chef de file de l’opposition républicaine,  étaient tous présents à Dinguiraye.

Après la prière funèbre direction le cimetière de Tintikolè  en face du centre de santé Manden où est logé pour l’éternité Abdoulaye Bah, journaliste.

Pour rappel,  Abdoulaye Bah est décédé à l’hôpital de l’amitié Sino-guineennne, suite à un accident qu’il a subit le samedi dernier à Matoto alors qu’il couvrait les travaux d’assainissement de la ville de Conakry en compagnie du ministre des Travaux publics et celui de la jeunesse.

Abdoulaye Bah est mort l’arme à la main.

Que son âme repose en paix. Amine!

Symposium du corps d’Abdoulaye Bah : Voici les recommandations du SPPG

Le symposium du corps d’Abdoulaye Bah, journaliste au site Guineenews a eu lieu ce jeudi 21 juin 2018 au palais du peuple de Conakry de 10 heures à 13 heures.

Ce triste événement a connu la présence des membres du gouvernement, des représentants du corps diplomatique accrédités en Guinée, les représentants des institutions républicaines,  la classe politique,  la société civile, et la presse nationale et internationale. C’est rendre un dernier hommage à Abdoulaye Bah,  journaliste décédé le lundi 18 juin 2018 à l’hôpital de l’amitié Sino Guinéen de Kipé des suites d’un accident de la route survenu samedi dernier aux environs de 4 heures du matin pendant qu’il couvrait les travaux d’assainissement de la ville de Conakry en compagnie du ministre de la Jeunesse et celui des Transports.

À cette occasion solennelle,  le syndicat des professionnels de la presse privée de Guinée (SPPG), après avoir présenté ses condoléances à la nation guinéenne,  a exigé que toute la lumière soit faite sur cet accident mortel.

« Le SPPG exige que la lumière soit faite sur les circonstances de l’accident mortel ayant coûté la vie à Abdoulaye Bah afin que les auteurs de ce carnage soient arrêtés, poursuivis et punis à la hauteur de leur forfaiture », dira Siddy Diallo, le Secrétaire général du Syndicat de la presse privée de Guinée dans un ton ferme.

« Le syndicat des professionnels de la presse privée de Guinée exhorte l’État guinéen à prendre des mesures effectives et immédiates pour la prise en charge de l’évacuation de Abou Korea Kourouma qui a été accidenté avec Abdoulaye Bah alité et gravement malade. Ces malheureux incidents remet en cause la sécurité des journalistes sur le terrain », poursuit-il.

Par ailleurs,  le syndicat des professionnels de la presse privée de Guinée appelle les patrons de presse à la vigilance.

« Nous invitons l’ensemble des patrons de presse à plus de retenue dans la désignation des journalistes à des heures non élucidées et à intensifier des informations sur la question de la sécurité des journalistes sur le terrain ».

Enfin,  le SPPG sollicite que la salle de montage vidéo soit baptisée « salle Abdoulaye Bah  » en guise de reconnaissance pour sa passion pour l’audiovisuel.

Tour à tour,  ministres de la République,  députés, journalistes, membres de la famille ont succédé le haut de la tribune pour rendre un dernier hommage à notre confrère.  Tous ont témoigné la disponibilité,  le sens d’humour, la bravoure et le professionnalisme d’Abdoulaye Bah.

Après ce symposium,  le cortège funèbre a bougé pour Dinguiraye,  la ville natale du défunt.

Abdoulaye Bah sera inhumé demain vendredi après la prière de vendredi à Dinguiraye, en présence de ses parents, amis et collaborateurs.

Que son âme repose en paix.

Amine.

Décès du journaliste Abdoulaye Bah: réaction de la société civile.

Notre confrère Abdoulaye Bah journaliste reporter du site Guineenews n’est plus.  Il est décédé ce lundi matin à l’hôpital Sino Guinéen de kipé  des suites d’un accident.

Dès l’annonce de cette triste nouvelle,  les personnes ont rallié la maison mortuaire située à petit simbaya dans la commune de Ratoma.

C’est le cas de Abdourahmane Sanoh président de la plateforme des citoyens unis pour le développement (PCUD).

Pour lui, Abdoulaye Bah était le journaliste le plus brillant de sa génération. « C’est une perte énorme. Malgré son jeune âge,  Abdoulaye Bah était un grand journaliste avec un sens aigu de la rigueur, du professionnalisme qu’il mélangeait avec une humilité inégalée. C’est une immense perte pour la nation, parce qu’il s’agit d’un des journalistes les plus brillants de sa génération et qui a porté beaucoup d’espoir pour le métier de journaliste qui est un métier extrêmement difficile dans notre pays ».

Paix à l’âme de notre confrère.

Disparition du journaliste Abdoulaye Bah: réactions des associations de presse

Abdoulaye Bah était un journaliste reporter du site d’informations Guineenews. Samedi dernier,  il a été fauché par un véhicule rempli de jeunes garçons ivres qui apparemment revenaient d’une veillée. L’accident s’est produit aux environs de 4heures du matin pendant que des journalistes couvraient une opération de déguerpissement entamé ce jour par le ministre des travaux publics et celui de la jeunesse.

Ce lundi matin,  à la famille mortuaire, à petit simbaya, les patrons et associations  de presse étaient inconsolables.

Siddy Diallo,  secrétaire général du syndicat de la presse privée de Guinée. « Au nom du syndicat de la presse privée de Guinée,  nous présentons nos sincères condoléances à la nation guinéenne. Nous retenons de Abdoulaye Bah,  un homme très ouvert, très gentil, malgré son statut de reporter, il est un grand homme.  Nous affirmons sans nul doute que ce lundi reste un lundi noir pour la presse guinéenne. Sincèrement parlant,  les mots manquent pour le qualifier. Abdoulaye Bah a aimé son métier.  De par ce métier,  il était apprécié par tout le monde. Malheureusement le débat guinéen est politique mais par ce côté politique,  ce monsieur était côtoyé par tout le monde que ce soit à la mouvance ou à l’opposition….. »

Par ailleurs, Siddy Diallo, secrétaire général de la presse privée de Guinée, interpelle la sécurité routière à prendre ses responsabilités pour éviter des cas pareils dans l’avenir.

« Au-delà du décès de notre confrère,  il faudrait que les autorités puissent prendre des dispositions concernant cette épineuse question de la circulation routière en Guinée parce qu’on ne peut pas continuer à chaque fois de pleurer nos morts. Si c’est une mort naturelle,  on peut continuer de se remettre à la volonté de Dieu. Mais Abdoulaye c’est un soulard venu de nulle part qui l’a percuté et voilà la mort s’en est suivie. Au lieu de continuer à pleurer nos morts, la sécurité routière doit prendre ses responsabilités pour nous éviter ces accidents pareils.»

Au nom de l’Union des radios et télévisions libres de Guinée, (Urtelgui), Sanou Kerfala Cissé,  président de l’union a présenté ses condoléances à la presse et à la  nation guinéenne.

« Mes sentiments sont des sentiments de tristesse,  de désolation.  Vous ne pouvez pas imaginer l’émotion,  la douleur,  la colère qui me traversent. Abdoulaye Bah nous l’avons connu.  C’était un garçon plein d’humilité, d’humour,  de professionnalisme.  Je l’ai connu dans un premier temps au journal l’observateur, jusqu’à notre dernière rencontre, ce monsieur n’a jamais appelé un aîné par son nom. Il a toujours dit koto (grand frère)  avait sa façon à lui de respecter les aînés. Il était timide mais nous n’étions pas aussi surpris de l’évolution positive qu’il a enregistrée dans ce métier parce qu’il avait l’amour de ce métier. Rien qu’à voir l’heure à laquelle cet incident malheureux s’est produit qui, malheureusement vient allonger la liste des journalistes victimes des accidents de la route, ça prouve à suffisance son amour et son professionnalisme.  Le peuple de Guinée vient de perdre une personnalité du monde des médias qui avait tout donné à notre profession,  il est tombé l’arme à la main. Nous sommes littéralement affligés, nous sommes désorientés, désœuvrés. Au nom des membres de l’union des radios et télévisions libres de Guinée, nous prions pour le repos de son âme. »

Amadou Tham Camara, l’employeur de Abdoulaye Bah et madame Bah Marie Louise épouse de Abdoulaye Bah, n’ont  pas pu s’exprimer. Ils restent  pour le moment inconsolables.

Diop Ramatoulaye depuis la maison mortuaire.

Décès du journaliste Abdoulaye Bah: le gouvernement prend es funérailles en charge.

Notre confrère Abdoulaye Bah du site Guineenews est décédé ce lundi à l’hôpital Sino Guinéen de Kipé des suites d’un accident de la route survenu samedi dernier aux environs pendant qu’il couvrait les travaux d’assainissement de la ville de Conakry en compagnie du ministre de la Jeunesse Mouctar Diallo et celui des transports Moustapha Naite.

Ce matin, journalistes, patrons de presse,  et ministres ont rallié  la maison mortuaire. La  tristesse et la désolation se lisaient sur tous les visages.

Pour Mouctar Diallo,  Abdoulaye Bah est un martyr.

« On a engagé une opération Conakry ville propre pour rendre la capitale propre. Pour avoir un environnement sain, pour que les routes soient praticables. Nous étions dans cette opération aux environs de 3heures du matin, c’est là que notre frère Abdoulaye Bah a rendu l’âme. Donc c’est pour dire qu’il a rendu l’âme sur le champ de bataille.  Il était au service de la nation quand Dieu l’a rappelé donc c’est un martyr. Tout cela constitue un sentiment de satisfaction et une source d’apaisement pour nous ».

Le ministre de la Jeunesse et de l’Emploi jeunes a annoncé les dispositions prises par le gouvernement pour les funérailles de notre confrère.

« Le gouvernement a dit qu’il est très solidaire et prend en charge tout ce qui est lié aux funérailles et il reste à l’écoute de sa famille parce que nous considérons que Abdoulaye Bah doit continuer à vivre à travers sa famille notamment son épouse ».

Le journaliste Abdoulaye Bah a succombé à ses blessures

Victime d’un accident de la circulation samedi dernier au rond-point de Matoto alors qu’il couvrait la campagne d’assainissement, Abdoulaye Bah a rendu l’âme tôt ce lundi à l’hôpital Sino-guinéen où il avait était interné.

Le journaliste qui a succombé à ses blessures avait été gravement blessé.

Selon son employeur, il était entré dans le coma après l’accident. Une situation qui a suscité la mobilisation du président de la République, du premier ministre, plusieurs membres du gouvernement, le chef de file de l’opposition et la presse.

Tous les représentants des administrations se sont relayés à son chevet. On priait que son tableau clinique qui déclinait à cause d’une hémorragie cérébrale, s’améliorât afin de pouvoir prendre en toute sécurité un avion médicalisé qui avait été promis par Alpha Condé pour des soins à l’étranger.

Abdoulaye a travaillé à l’hebdomadaire avant d’intégrer la rédaction de guineenews. Il laisse derrière lui une veuve.

La rédaction de journaldeconakry.com présente ses condoléances à la famille, aux amis et collaborateurs du défunt.